Le bateau d’Alice de Sandrine Collette.
Quel bonheur de retrouver Sandrine Collette dans cet opus. Une petite nouvelle où Alice et Bérénice sa soeur vont décider de finir leur jours ensembles. Elles retrouvent ainsi un peu de leur enfance, et surtout elles évitent la solitude et l’Ehpad. Antoinette bien se joindre à elles, peut-être un peu trop hautaine, un peu trop tout…
Une jolie fin de vie, et je vous laisse découvrir ce qu’est leur « bateau »!
La traversée de la vie de Lorraine Fouchet.
Noé, Myriam, Louis et Brieuc embarque sur le «Breizh Nevez» pour rejoindre l’île de Groix. Ils viennent pour l’enterrement de la « Meumée » Rien de tel que l’enterrement d’un être cher pour se souvenir, pour se réconcilier … un joli moment de Bretagne.
Octobre de Karine Giebel.
Karine Giebel nous raconte Octobre, le sept octobre et ses conséquences, vus par des enfants, des jumeaux (un garçon et une fille) israéliens et d’un enfant palestinien. C’est dur, c’est réaliste, c’est Giebel!
Tous dans le même bateau de Raphaëlle Giordano.
C’est un veuf qui depuis le décès de sa femme n’a plus envie de vivre. Une petite fille a perdu son papa. Retrouvera-t-il ce désir de créer pour aider cet enfant. Un joli moment d’espoir dans ce bateau de la vie.
La maison d’orient de Christian Jacq.
Retrouver Christian Jacq, découvert avec « l’Egypte des grands pharaons » , « Champolion l’égyptien » il y a des années déjà est un réel plaisir. L’Egypte éternelle perdure!
Samedi soir de Marie-Hélène Lafon.
Malgré l’amour et l’affection fraternelle, parfois il faut quitter le navire pour s’épanouir. Il y a celui qui reste, et celui qui s’envole.
Eh bien, nagez maintenant d’ Alexandre Lapierre.
Adrien, imbu de lui même, poseur et manifestement ennuyeux ne méritait quand même pas ce qui lui est arrivé, laissant quatre jeunes sans doute plein de remords!
Les voyageurs de Marc Levy.
Il aurait sans doute fallu que Adel et Nadar se rencontrent pendant qu’ils étaient jeunes. Ils auraient peut-être embarqué dans le même bateau et la face du monde aurait peut-être été différente.
Il s’est abimé dans la mer de Marcus Malte.
C’est un joli poème que nous offre Marcus Malte.
« Il s’est abîmé dans la mer
Mon beau bateau mon bateau blanc »
Comme un jeu, comme un rêve d’enfant, qui un jour devient adulte et rejoint la vie d’adulte .
On ne savait pas comment vous le dire d’ Agnès Martin-Lugan.
On retrouve cette sympathique famille recomposée dont on a suivi l’évolution au fil du temps . Dimitri et Louise se sont toujours bien entendu, mais voilà, il semblerai qu’ils ne soient plus en relation…à moins que…
Un coup de bôme d’ Étienne de Montety.
Ils sont en vacances avec un groupe de copains, lorsque Alma et Alex vont faire un tour en bateau. Sûr un voilier, chacun est à sa place…mais le bateau chavire…Alex est assommé par la bôme et Alma le sauve… Ils vont se regarder de façon différente. Une jolie histoire d’amour.
Sûr le même bateau de François Morel.
C’est une toute petite nouvelle que nous offre François Morel en nous faisant découvrir Yves-Marie Le Guilvinec (1870/1900). Marin, mais aussi auteur compositeur et chanteur breton, peut-être aussi chansonnier, oublié depuis si longtemps.
Banlieue-Trecking de Romain Puértolas.
Voilà un sport inconnu des médias, un trekking en banlieue pour donner des frissons à des personnes en mal de sensations fortes, où dans notre cas, à un auteur en recherche d’inspiration. Une rencontre hallucinante tarifée avec ces gamins qui zonent et dealent dans nos sinistres banlieues et un homme. Et l’actualité qui bouscule ce jeu de façon très surprenante.
Victor de Jacques Ravenne.
C’est une histoire vraie, la terrible histoire de Victor Noir, seulement âgé d’une vingtaine d’années qui meurt lâchement assassiné. Son ami Ulrich de Fontvielle, pour respecter le désir de Victor Noir demande au sculpteur Jules Dalou de réaliser un gisant de Victor dans la position exacte au moment de sa mort. Il faut dire qu’aujourd’hui encore, cette tombe du Père Lachaise est très visitée