Quatrième de couverture
Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre —certains diraient : seul, aigri, méchant— s’ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Eviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d’escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie… jusqu’au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 92 ans forcent littéralement sa porte, et son coeur.
Si dès le commencement j'ai trouvé ce héros triste, pathétique, s'il m'a agacée avec ses rancunes et ses rancoeurs… très vite je me suis attachée à lui…La solitude a parfois ces effets néfastes. Il suffit d'une petite fille en quête de tendresse, d'une vieille dame exubérante et très active, et Ferdinand, malgré tous ses défauts devient ce que sans doute il était vraiment… J'ai ri parfois, je l'ai aidé à se débarrasser de Mme Suarez… J'ai adoré lorsque l'énergique Béatrice le conduit à l'hôpital!
Lecture facile, lecture agréable, lecture plaisir, lecture détente… Pour retrouver sa bonne humeur!