dimanche 1 mars 2015

La bonne couleur

Yaël HASSAN

Quatrième de couverture

Nouvelle nuit d’angoisse et d’insomnie. Mais c’est l’heure. Max a la gorge sèche et les tripes nouées. Plus que quelques secondes… Il compte. Six, cinq, quatre, trois, deux… Il ferme les yeux, il voudrait mourir, disparaître à jamais. Difficile de se lever lorsqu’on ne porte plus l’uniforme rouge ou violet de l’élite et que l’on est rétrogradé chez les bruns. Surtout quand le régime totalitaire au pouvoir ne tolère ni l’échec ni la liberté d’expression. Max doit affronter les humiliations du lycée mais il ne regrette rien. Ce qui compte, c’est ce à quoi il aspire en secret… La liberté, le plus beau des combats!

C'est une lecture simple et limpide, elle s'adresse à un jeune public, elle soulève le douloureux problème des dictatures, des libertés d'expression, des libertés de s'aimer, de choisir ses amis…
On peut voir parfois des images qui nous paraissent surréalistes de populations quasi militarisées, qui d'une seule voix adulent leur "guide". Max est au coeur même d'un système de ce genre. Parce qu'il rencontre un dissident, il va être mis à l'index. Nous allons avec lui découvrir des opposants au régime, leur façon de faire et surtout leur volonté de réveiller le peuple sans faire couler le sang.



2 commentaires:

  1. Très intéressant les sujets traité dans ce livre, je me le note ;)

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    1. D'autant plus que j'ai constaté que tu lisais beaucoup de roman jeunesse. J'imagine qua tu cannais l'auteur!

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