Matt Sefton |
Quatrième de couverture
Pendant ce temps-là, l’ex-agent du FBI Terry McCaleb, le héros de Créance de sang, reçoit la visite d’un collègue qui veut son avis sur une affaire que personne n’arrive à résoudre. McCaleb consulte le dossier et découvre la victime les mains dans le dos et la tête dans un seau. Et sur son bâillon, il est écrit : Cave Cave Dus Videt, "Prends garde, prends garde, Dieu voit" en latin d’église.
Peu à peu, les deux affaires commençant à se croiser, McCaleb et Bosch se retrouvent devant des faits qui les entraînent dans un grave conflit : un flic serait-il passé du côté des ténèbres ?
Traduit de l'anglais par Rémi Pépin
McCaleb, je ne le connais pas encore, de Connelly je n'ai lu que des ouvrages ayant pour héros Harry Bosch. Et j'aime Harry Bosch, c'est comme ça, ça ne se discute pas.
J'ai donc fait la connaissance de Terry McCaleb, ayant une famille, un nouveau coeur et n'étant plus policier. Il est contacté pour "profiler" un tueur.
Bosch de son côté dépose au tribunal pour prouver qu'un cinéaste célèbre a assassiné une jeune actrice.
Nous suivons donc deux enquêtes, une au tribunal, l'autre sur le terrain, elles finiront par se rejoindre.
Je trouve que McCaleb est beaucoup trop hâtif dans ses conclusions, en deux coups de crayons, un regard sur les vidéos d'une scène de crime et une conversation avec un suspect…il pense détenir la vérité. Je ne pouvais donc pas aimer cet homme, qui bien sûr incrimine sans trop de réflexion Harry Bosch.
Dans la préface, Connelly écrit que c'est son roman préféré, à l'époque c'était son dernier (mais je n'ai pas vérifié), et en principe les artistes et créateurs parlent toujours ainsi de leur dernier-né. C'est celui que j'ai le moins aimé. J'ai été lassée par les longues séances au tribunal et par les jérémiades de l'épouse de McCaleb qui veut absolument le culpabiliser.
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