Couverture: Graphisme Stanilas Zygart
Quatrième de couverture:
Du village où il vit, Maurice Pons raconte les étranges rumeurs qui entourent une certaine Mademoiselle B. : une créature sans âge, toujours vêtue de blanc, qui attirerait les hommes et les pousserait au suicide. Maurice Pons, alors en mal d’écriture, se retrouve pris au cœur de l’enquête. Tout aussi méfiant que fasciné, il se passionne pour le cas de Mademoiselle B.
Quelle jolie préface que celle que nous offre Hippolyte Girardot, il nous donne envie de commencer sans tarder le roman, je lui ai trouvé une fort jolie plume.
J'ai également aimé le style de Maurice Pons, qui choisit un héros qui porte son nom, qui exerce le même métier que lui, écrivain qui comme lui végète en mal d'inspiration.
Je pensais que nous ferions, avec l'auteur une enquête pour découvrir cette Mademoiselle B., qui semble pousser les hommes au suicide. Mais voilà, rien n'est simple, entre les cadavres, les amis du cru, les amis et maitresses de sa vie d'avant…(avant de vivre sur les bords de la Flanne), Maurice Pons nous parle de son quotidien. Il se raconte, et aussi il enquête…un peu, très peu même à mon goût.
Alors que nous irons d'anecdotes en drames, il semble lui aussi avoir peur de Mademoiselle B.
jusqu'à la postface: "Chaque livre est mon dernier livre"
"M. Pons survit très bien en écrivant une étude sur les pièces de monnaie pour une encyclopédie britannique, publiée en langue allemande pour un éditeur suédois."
Une agréable moment de lecture.
J'ai beaucoup aimé la préface et la postface. Un livre très bien écrit mais surprenant quand même!!
RépondreSupprimerMoi aussi, surprenant est le mot, et entre "pré" et "post" face, c'est pas mal non plus!
SupprimerMerci pour cette critique cela m'intrigue, je me le note ;)
RépondreSupprimerUne étonnante rencontre avec cet auteur et Mademoiselle B.
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