Le jeune Patrick, qui vit dans l’ombre d’un père trop tôt disparu, est choyé par ses grands-parents maternels, mais ignoré par sa maman va nous raconter son itinéraire.
Il rencontre son grand-père, le Baron Pierre Nothomb, poète rêveur et fantasque, vivant de peu avec sa nouvelle famille. Dans cet espace de liberté, où chaque enfant se débrouille pour survivre, pour manger, il saura s’adapter et rendre ses séjours agréables.
Puis vient le temps des amours, du mariage et des enfants… Deux, André et Juliette, avant d’être affecté au Congo-Kinshasa, et nommé consul à Stanleyville. Otage, il négociera afin de sauver un maximum de vies.
Je pense que l’enfance a été racontée avec bonheur à ses enfants, à Amélie, comme une parenthèse enchantée par son père, sa rencontre avec Danièle et sa joie de devenir père aussi. Il reste plus difficile de parler de l’horreur des prises d’otages, des assassinats gratuits et des trois mois d’enfer.
C’est un bel hommage qu’Amélie Nothomb rend à son père.
Pour ce roman, Amélie Nothomb a reçu le prix Renaudot 2021 .
Quatrième de couverture :
« Il ne faut pas sous-estimer la rage de survivre. »
Patrick Nothomb (1936-1920)
Celui-ci est dans ma pile à lire ! je pense le lire prochainement :)
RépondreSupprimerBonne journée !
J'ai hâte de lire ton avis!
SupprimerBonne journée!