Pa Salt meurt et laisse à ses sept filles adoptives l’opportunité de découvrir leurs origines.
Star, la sœur de l’ombre est la troisième, adoptée en Angleterre.
Star (Astéropode d’Aspliese) est très effacée, timide et taciturne elle se laisse facilement dominer par sa sœur « CeCe » qui décide toujours de tout, et est très (trop ?) exubérante.
Star va enfin prendre son envol et se libérer de l’emprise de CeCe.
C’est une jeune femme solitaire, elle aime la lecture, voudrait devenir écrivain. Elle est embauchée dans une vieille librairie londonienne. Elle se prend d’affection pour la famille atypique de son employeur. Elle s’épanouit en cuisinant et en s’occupant d’un jeune enfant sourd.
En partant à la recherche de ses origines, dans l’Angleterre Édouardienne, elle va enfin s’émanciper.
Elle va surtout découvrir la fabuleuse Flora MacNichol.
Comme pour les deux précédents, j’ai aimé m’évader, passer du début du XXème siècle au début du XXIème.
Star, la sœur de l’ombre est la troisième, adoptée en Angleterre.
Star (Astéropode d’Aspliese) est très effacée, timide et taciturne elle se laisse facilement dominer par sa sœur « CeCe » qui décide toujours de tout, et est très (trop ?) exubérante.
Star va enfin prendre son envol et se libérer de l’emprise de CeCe.
C’est une jeune femme solitaire, elle aime la lecture, voudrait devenir écrivain. Elle est embauchée dans une vieille librairie londonienne. Elle se prend d’affection pour la famille atypique de son employeur. Elle s’épanouit en cuisinant et en s’occupant d’un jeune enfant sourd.
En partant à la recherche de ses origines, dans l’Angleterre Édouardienne, elle va enfin s’émanciper.
Elle va surtout découvrir la fabuleuse Flora MacNichol.
Comme pour les deux précédents, j’ai aimé m’évader, passer du début du XXème siècle au début du XXIème.
Merci Laurence pour ce cadeau !
Quatrième de couverture:
Mais Star, la plus énigmatique, hésite à sortir du cocon qu'elle s'est créé avec sa soeur CeCe. Elle décide pourtant de suivre le premier indice, qui l'entraîne dans une librairie de livres anciens à Londres et sur la piste d'une certaine Flora MacNichol, une femme indépendante et exemplaire qui a connu Beatrix Potter. Roman traduit de l'anglais (Irlande) par Marie-Axelle de La Rochefoucauld.
Le temps du bonheur!Mes enfants, Stephen et moiPhoto source le site web "LR À propos de Lucinda"
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