Couverture: Jean-Philippe Charbonnier
Quatrième de couverture
À l’université, Tony, le narrateur, fréquenta Véronica et découvrit que le corps des filles est parfois défendu comme la zone d’exclusion d’un pays pour la pêche... Quelques mois plus tard, il apprit qu'elle sortait désormais avec Adrian. De rage, il leur écrivit une lettre épouvantable…
Pourquoi Adrian s’est-il suicidé ?
Quarante ans plus tard, le passé qui resurgit révèle une terrible vérité. Elle bouleversera Tony et chacun des lecteurs d’ « Une fille, qui danse ».
Traduit de l’anglais par Jean-Pierre Aoustin.
Marié, puis divorcé, père, puis grand-père, la vie est passée si vite, trop vite. A-t-il réalisé ses rêves ou a-t-il, peut-être par paresse, par orgueil laissé les choses se faire?
Pourquoi Véronica est devenue « La Toquée » ?
Mais en réfléchissant bien, ces souvenirs sont-ils la réalité, ou les années passant ne les aurait-il pas transformés, juste peut-être pour se donner le beau rôle, ou tout simplement supporter une rupture plus douloureuse qu’il veut bien le dire.
« Tu ne piges pas, hein ? Mais tu n’as jamais pigé » lui dira la Véronica d’aujourd’hui… Il faudra bien qu’on (Tony et le lecteur) finissent par comprendre…et je me dis « Quel gâchis! ».
J’ai lu de nombreuses critiques élogieuses de ce roman. Je dois reconnaître que je ne l’ai pas particulièrement aimé. Son style, d’abord, mais aussi les personnages, un peu trop ternes à mon goût.