jeudi 23 octobre 2014

Dans les rapides

Maylis de Kerangal
Couverte: Gérard Lo Monaco

Quatrième de couverture

«T’es rock, t’es pas rock. La vie rock. Ce n’est pas gravé sur les disques, ce n’est pas imprimé dans les livres. Une épithète consubstantielle, un attribut physique comme être blonde, nerveux, hypocondriaque, debout. Rock rock rock. Le mot est gros comme un poing et rond comme un caillou. Prononcé cent fois par jour, il ne s’use pas. Dehors le ciel bouillonne, léger, changeant quand les nuages pèsent lourd, des milliers de tonnes bombent l’horizon derrière les hautes tours, suspendus. Être rock. Être ce qu’on veut. Plutôt quelque chose de très concret. Demandez le programme!»

Le Havre, 1978. Elles sont trois amies inséparables. Un dimanche de pluie, elles font du stop, et dans la R16 déboule la voix de Debbie Harris, la chanteuse de Blondie. Debbie qui s’impose aux garçons de son groupe, Debbie qui va devenir leur modèle.


Lise, Nina et Marie la narratrice, trois jeunes adolescentes pleine de vie.
J’ai toujours beaucoup de mal à écrire un billet sur un livre que je n’ai pas aimé.
Je n’ai pas accroché au style de Kerangal. De très longues phrases, je n’ai pas toujours réussi à suivre.  Que trois jeunes filles s’identifient à Debbie Harris, même si la chanteuse de Blondie avait déjà plus de trente ans en 78, ne m’étonne et ne me surprend pas, mais je n’ai pas vu ce que cela leur apportait.
Elles rêvent de Londres, de New-York, mais dans quel but?
J’ai trouvé de bonnes critiques de ces quelques pages, je suis sans doute passée à côté.
J’ai également lu de bonnes critiques sur l’auteur et d’autres de ses romans…
Peut-être, plus tard…je tenterai de nouveau une approche de Kerangal.

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