Quatrième de couverture
Paris, 2060.
Après le clonage des êtres vivants, la loi autorise celui des personnes mortes depuis au moins soixante-dix ans.
Et si l'un des clones d'Adolf Hitler avait été gagné à la tombola, par un gamin et son père, spécialiste de l'Histoire du XXe siècle ? Et si ce Dolfi paisible s'était échappé ? Et si le passé revenait ? Et si un homme seul pouvait empêcher le pire ?
Tycho Mercier, professeur d’histoire est spécialisé sur la seconde guerre mondiale. Il devient malgré lui propriétaire de deux clones. Le premier, Dolfi « AH6 », est le dernier exemplaire en circulation d’une série interdite de clones d’Adolf Hitler, le second un clone de contrebande non immatriculé de Marilyn Monroe. Dénoncés, les deux clones prennent la fuite.
J’ai trouvé particulièrement intéressant la vision de l’auteur sur le clonage.
Une main d’oeuvre bon marché et servile à souhait, la « résurrection » d’êtres aimés, sans avoir l’air de rien Saintonge nous plonge dans un abîme de réflexion sûr l’utilisation d’une science trop souvent sans conscience et mercantile.
Notre héros, Tycho Mercier, est à mon goût un peu trop attentiste…Les évènements semblent glisser sur lui, il ne prend vraiment d’initiatives qu’en dernier recours…Combien de fois ai-je été agacée de le voir ainsi passif. Mais il est loin d’être antipathique, au contraire.
En revanche j’ai trouvé la fin bâclée, un peu trop facile…
François Saintonge est le pseudonyme utilisé par un auteur souhaitant garder anonyme son identité, aucun problème pour moi, mais il y a fort à parier qu’il s’agit d’un homme.
Je trouve intéressante cette idée de clonage mais le fond de l'histoire ne me tente pas.
RépondreSupprimerBonne journée !
C’est juste un conte philosophique, qui propose une réflexion sur d’éventuels clonages d’êtres humains dans le futur…Une lecture intéressante, mais pas indispensable…
SupprimerBonne soirée Céline!
quand les fins déçoivent un peu, c'est quand même râlant!
RépondreSupprimerIl est sur ma liseuse, et j’aimerai que, quand tu auras le temps et que nous nous verrons, tu le lises…j’aimerai bien en parler…Bon peut-être que si j’insiste, ton père le lira…
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