Michaël CONNELLY
Couverture: Rémi Pépin
Quatrième de couverture
Mais après l’affaire Rodney King, les émeutes qui s’ensuivirent et le procès d’O. J. Simpson, Los Angeles est devenue une ville très tendue. Bosch, dont le bonheur avec Eleanor Wish est en train de vaciller, aura à révéler des choses que beaucoup préféreraient garder sous silence…
Harry Bosch est désigné pour enquêter sur le meurtre d’un avocat noir très particulier. En effet Howard Elias défendaient les noirs victimes de violences policières. La rue a déjà désigné son coupable, un policier blanc (ancien coéquipier de Bosch?) Il faut éviter des émeutes raciales et peut-être sacrifier un bouc émissaire.
C’est une vision très noire de la police et des pressions politiques.
Pour Harry, flic intègre, mais tourmenté (son couple bat de l’aile) il faut trouver et inculper le vrai coupable. C’est un imbroglio d’affaires qui se chevauchent.
Milieux huppés et moeurs dissolus, pressions politiques et flics corrompus…
Notre héros tire son épingle du jeu, mais c’est la première fois que je suis aussi mal à l’aise par la fin d’un Connelly. C’est sans doute parce qu’elle est très réaliste, trop peut-être, pour ne pas me laisser ce sentiment malsain d’impunité, de vengeance et pas de justice.
Une toujours aussi belle écriture, une authenticité, et un héros sympathique.
C’est une vision très noire de la police et des pressions politiques.
Pour Harry, flic intègre, mais tourmenté (son couple bat de l’aile) il faut trouver et inculper le vrai coupable. C’est un imbroglio d’affaires qui se chevauchent.
Milieux huppés et moeurs dissolus, pressions politiques et flics corrompus…
Notre héros tire son épingle du jeu, mais c’est la première fois que je suis aussi mal à l’aise par la fin d’un Connelly. C’est sans doute parce qu’elle est très réaliste, trop peut-être, pour ne pas me laisser ce sentiment malsain d’impunité, de vengeance et pas de justice.
Une toujours aussi belle écriture, une authenticité, et un héros sympathique.
Il va falloir que je découvre un jour cet auteur ;)
RépondreSupprimerBon dimanche !
Je trouve que Connelly donne une âme à Los Angeles, et que Bosch,on héros sort des sentiers battus…À découvrir en tout cas.
SupprimerMerci, bonne journée à toi aussi.