Quatrième de couverture:
A 32 ans, un doctorat d'histoire en poche, Louis Antioche en a plus qu'assez des livres et des sciences humaines. Alors, quand l'ornithologue suisse Max Böhm lui propose de suivre la migration de cigognes à travers l'Europe et l'Afrique, afin de chercher à comprendre pourquoi certaines d'entre elles ne sont jamais revenues au printemps dernier, c'est sans aucune hésitation que le jeune homme accepte.
À peine arrivé à Montreux où l'ornithologue l'attend pour mettre au point les derniers préparatifs, Louis découvre le corps sans vie de Böhm, vraisemblablement foudroyé par une crise cardiaque au beau milieu d'un nid de cigognes.
Intrigué par sa mission, Louis se décide rapidement à suivre les volatiles. De la Slovaquie à la République de Centrafrique, en passant par les kibboutz d'Israël, le paisible voyage de Louis va rapidement tourner au cauchemar. Alors que les cadavres atrocement mutilés se succèdent, les interrogations s'accumulent, au sujet de la disparition des cigognes mais également par rapport au mystérieux passé de Böhm...
Poursuivi par des tueurs implacables, Louis trouvera finalement la réponse à toutes ces questions à Calcutta, au cœur des ténèbres...
Lorsqu' en septembre dernier, je regardais les cigognes faisant escale sur un château d' eau pas très loin de chez moi, ce roman n' était pas encore dans ma PAL. Quelques heures et 174 photos (vive le numérique!) plus tard, je me renseignais sur la migration des cigognes. Ce fut un réel plaisir d' en apprendre un peu plus sur ce magnifique oiseau.
Au-delà de l'intrigue, je devrais même dire des intrigues qui se croisent, se recoupent, notre héros, Louis Antioche tout en suivant le vol des cigognes va nous faire découvrir ces peuples de misère souvent oubliés. En Bulgarie, ce sont les "roms", on les ignore, on les rejette, et surtout on n' enquête pas sur leur meurtre, "règlement de compte...entre-eux", ne pas chercher, ne pas savoir. L' auteur nous raconte les couleurs, les odeurs, les gens et leurs regards. Puis nous suivons ces magnifiques cigognes au coeur d' un kibboutz, avec la violence et la peur entre ces deux peuples ennemis. Les armes, le sang et les morts pour seule réponse. Encore des armes en république de Centre Afrique, mais la vision des autochtones, puis ce voyage au coeur de la civilisation pygmée. Enfin Calcutta, l' Inde d' où seraient originaires nos "roms" du début du voyage.
Et au coeur de toutes ses couleurs, de toutes ses odeurs, des crimes atroces, pendant que les cigognes, symbole de vie passent, des hommes tuent...Et Louis découvrira jusqu' au secret de ses origines. Un roman que j' ai eu plaisir à lire.
Au-delà de l'intrigue, je devrais même dire des intrigues qui se croisent, se recoupent, notre héros, Louis Antioche tout en suivant le vol des cigognes va nous faire découvrir ces peuples de misère souvent oubliés. En Bulgarie, ce sont les "roms", on les ignore, on les rejette, et surtout on n' enquête pas sur leur meurtre, "règlement de compte...entre-eux", ne pas chercher, ne pas savoir. L' auteur nous raconte les couleurs, les odeurs, les gens et leurs regards. Puis nous suivons ces magnifiques cigognes au coeur d' un kibboutz, avec la violence et la peur entre ces deux peuples ennemis. Les armes, le sang et les morts pour seule réponse. Encore des armes en république de Centre Afrique, mais la vision des autochtones, puis ce voyage au coeur de la civilisation pygmée. Enfin Calcutta, l' Inde d' où seraient originaires nos "roms" du début du voyage.
Et au coeur de toutes ses couleurs, de toutes ses odeurs, des crimes atroces, pendant que les cigognes, symbole de vie passent, des hommes tuent...Et Louis découvrira jusqu' au secret de ses origines. Un roman que j' ai eu plaisir à lire.
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