mardi 15 avril 2025

Apnée de Sonja DELZONGLE


C’est un thriller passionnant, que j’ai lu d’une traite, ou presque. 

Une histoire d’amour, mais aussi de rivalités sportives. Des relations inavouées, des trahisons.
Albane est engagée pour retrouver des disparus.
Des meurtres sordides et des vols de poumons… Dans le milieu de l’apnée c’est pour le moins surprenant. Des rivalités sur des capacités respiratoires.
Quel plaisir de retrouver Hannah, une Hannah heureuse enfin!
J’ai aimé lire de nouveau Sonja Delzongle et côtoyer ses personnages.
Une lecture que je recommande.

Le milieu de l'apnée est un milieu que je connais peu.
J'ai donc fait quelques recherches pour aller un peu plus loin dans cette lecture, et essayer de  comprendre la compétition.

Je fais partie des rares spectateurs n’ayant pas aimé « Le grand bleu ». 

Le « Blue Hole » de la mer Rouge en Egypte cité dans le roman est tristement célèbre à cause du nombre important de décès liés à la plongée en apnée et à la course aux records.

Le record de Jacques Mayol (1927-2001), premier apnésite à descendre en dessous de cent mètres : 1976 : - 100 m (à 49 ans) puis 1983 : - 105 m (à 56 ans).

Le record a au cour des ans évolué:
214 m par Herbert Nitsch, établi en Grèce le 6 juin 2012.
Pour les femmes, Tanya streeter détient le record avec 160 mètres de profondeur le 17 août 2002 .

Quatrième de couverture :

Sur les bords de la mer Rouge, en Égypte, Lukas Berger s'élance pour battre le record du monde d’apnée, un moment auquel ce jeune prodige s’est préparé toute sa vie. Devant lui s’ouvre le Blue Hole, un gouffre mythique réputé pour sa beauté autant que pour sa dangerosité.
Lukas n’en remontera pas. Il disparaît purement et simplement, comme si le gouffre l’avait absorbé. A-t-il dérivé? A-t-il eu un malaise qui l’a entraîné vers le fond? Mais alors pourquoi sa montre est-elle accrochée au câble qui le reliait à la surface?
Quand, peu après, le corps mutilé d’un autre plongeur est découvert dans les profondeurs, cette fois la femme de Lukas en est persuadée : il ne s’agit pas d’un accident. Et chercher la vérité va faire émerger de bien sombres histoires…


Mes lectures de Sonja Delzongle

dimanche 13 avril 2025

Du feu de Dieu de Jean-Pierre RUMEAU

Patrick Patras a peu de souvenir de sa mère, trop tôt morte. Son père n’est pas un tendre et ne sait sans doute pas parler à ses deux fils. Passionné par les chevaux, notre jeune Patrick va avoir un accident, une belle ruade, et notre héros va avoir du mal à récupérer, et surtout devenir impuissant.
Il rencontre pour sa rééducation le Père Rémy, qui va l’aider, devenir son mentor. La foi soude les deux hommes…Mais quand le drame arrive, Patrick se retrouve seul. Il va essayer de comprendre pourquoi deux jeunes filles deviennent si violentes. Soudées par la même haine, par l’horreur qu’elles ont vécu.

Cette histoire ne m’a pas laissé indifférente. Elle fait appel à notre perception du terrorisme, mais aussi de la religion, des religions, des excès de certains adeptes. La vengeance, les traumatismes, les violences.
La lecture de ce roman est agréable, rien n’est définitif, coupables victimes, victimes coupables, même le policier perd ses marques.

Je remercie Taurnada Éditions et Joël Maïssa pour ce partenariat

Quatrième de couverture:

Lors d’une odieuse agression, un jeune prêtre assiste à l’exécution atroce de son maître spirituel, échappant lui-même de justesse à la mort.
Grièvement blessé dans sa chair et dans son âme, il va, peu à peu, perdre ses repères, puis sa foi, jusqu’à prendre le chemin de la vengeance.

samedi 29 mars 2025

La maison sans souvenirs de Donato CARRISI

C’est le cinquième roman de Carrisi que je lis, et le deuxième dont le héros est l’hypnotiseur Pietro Gerber.
Voilà trois ans déjà que je faisais la connaissance de cet endormeur d’enfants. Fils d’un hypnotiseur de mineurs, il a choisi le même métier que son père, mais semble refuser de lui succéder. 

C’est une juge qui contacte "l'endormeur d'enfants", un enfant, Nikolin, dit avoir tué sa mère. Pietro n’y croit pas.
C’est un roman très étrange, l’enfant semble possédé. Ces propos ne correspondent en rien au vécu de Niko. Quant à Pietro Gerber, il est empêtré par ses problèmes personnels. Difficile parfois de suivre, des délires d’enfants, des mensonges d’adultes.

J’ai trouvé cette lecture facile et agréable, Donatto Carrisi sait manipuler ses lecteurs, tout en gardant un style agréable.
Mes lectures de Donato Carrisi
Quatrième de couverture:

Les faits évoqués dans le rapport de la police locale semblent anodins : peu après l’aube, deux promeneurs découvrent une voiture abandonnée dans les bois en Toscane, le pneu arrière crevé et les portières ouvertes. Mais un détail interpelle les forces de l’ordre : elles remarquent les traces d’une tentative de fuite et les effets personnels d’une mère et de son fils, disparus depuis des mois.
Lorsque l’adolescent réapparaît seul dans la vallée de l’Enfer, il se déclare l’auteur d’un crime effroyable.Et pourtant, l’hypnotiseur florentin Pietro Gerber, appelé à l’aide sur cette enquête, soupçonne que quelque chose d’autre, plus sinistre encore, est à l’origine du mal.
Dès lors, les événements macabres se multiplient et Gerber se retrouve piégé dans une énigme meurtrière où sa vie et celle du garçon seront gravement menacées.

Traduit de l'italien par Anaïs Bouteille-Bokobza.

mardi 25 mars 2025

À la verticale de Dieu d' Aloysius WILDE

Quand il écrit sur un sujet, Aloysius Wilde est toujours très documenté. C’est un plaisir de le suivre, et de s’enrichir à son contact.

J’ai beaucoup aimé le personnage de Michaël. La façon dont il réagit après les raclées infligées par le prêtre, puis par son père est magistrale… S’entrainer et attendre d’être prêt pour se venger.
Bien sûr il y a les mauvais traitements, mais aussi et surtout la pédophilie, les abus perpétrés par le prêtre. Des enfances salies et brisées.

Mais s’il est devenu une force de la nature, il a un coeur tendre, un esprit de justicier… et tant d’amour à donner.
Il protège la femme qu’il aime, qui est si mal mariée…et tellement naïve, hors sol… une gérante de galerie qui ne voit pas le mal…et se trompe hélas!
Et il y a l’argent, les malversations, les collectes qui sont détournées, les « miracles » afin d’obtenir des dons des croyants.
La cupidité aussi, qui fait espérer, à l’instar de Ponzi et sa pyramide, des rémunérations importantes, sans se soucier de le légitimité des investissements.

J’ai cependant eu beaucoup de mal avec la chronologie, devant revenir en arrière pour retrouver la date, l’époque. Un roman cependant riche en rebondissements.

Je remercie l’auteur qui m’a gentiment proposé son roman.

Mes lectures d'Aloysius WILDE
Présentation de l'auteur :

Selon le Los Angeles Times, en octobre 2024, l'archidiocèse catholique de Los Angeles a accepté de verser 880 millions de dollars pour indemniser 1 350 victimes d'abus sexuels commis par environ 300 membres du clergé, Mais que valent des chèques face à des vies brisées ? Michael Connor a une autre idée : une vengeance froide, calculée et implacable.

dimanche 23 mars 2025

Le jour du kiwi de Laetitia COLOMBANI

C’est une pièce de théâtre, la première de Laetitia Colombani. 
Barnabé Leroux est veuf, seul après avoir vécu un grand amour et soigné son épouse jusqu’au bout. Cette pièce a été interprétée en 2023 par Gérard et Arthur Jugnot, Elsa Rozenknop et Florence Pernel

Barnabé a pris quelques habitudes de « vieux » garçon, il voit rarement son fils, steward et volage. Alors, quand arrive le vendredi et qu’un yaourt au kiwi, le dernier du pack n’est pas à sa place, il n’a de cesse de vouloir découvrir qui et comment on lui a dérobé son dessert.

C’est la tristesse de la solitude qui accentuent les petites manies, rien ne bouge dans l’univers des personnes qui vivent seules. Puis le grain de sable, et plus rien ne sera comme avant!
Une lecture rapide et agréable.

Quatrième de couverture:

Que feriez-vous si un yaourt disparaissait subitement de votre frigo ? Pour Barnabé Leroux, 60 ans, veuf, expertcomptable extrêmement tatillon dans l’organisation de son quotidien, c’est un mystère tout autant qu’un drame. Alors que son entourage le croit complètement givré, il s’entête, jusqu’à la paranoïa. Mais qui est le plus fou, dans cette histoire ?

jeudi 13 mars 2025

Troubles fêtes de Patrick S.VAST


J’ai toujours eu un petit faible pour les « Vieilles dames indignes ».
Mais Violette Grignon n’est pas si indigne que ça… Abattre un chenapan pour quelques victuailles… c’est juste rétablir un rapport de force. Mais quand on vole plus pauvre que soi, on s’expose à de sinistres représailles.

C’est un monde de misère, une cité d’oubliés, gangrenée par les différents trafics, oubliée des services publics, mal entretenue, des ascenseurs hors service, des couloirs et des accès où s’imposent différents trafics…Essayer de survivre, alors que plus personne n’ose espérer, si ce n’est de partir…de trouver ailleurs des logements sociaux pour élever ses enfants hors de la violence, pour que les personnes âgées n’aient plus à avoir peur…Cette cité, « Au bois radieux » ressemble à un enfer. La misère semble hélas aussi intellectuelle. L’isolement est terrible. Ces solitudes, ces clans, alors qu’il suffit parfois d’un sourire, d’un mot gentil pour désamorcer un conflit.

Avec ce roman Patrick S.VAST nous dépeint un monde sordide, où la loi du plus fort est la norme. J’ai cette triste impression que c’est juste le monde des cités où se retrouvent les plus nécessiteux d’entre-nous, où on ferme les yeux sur certains délinquants, juste pour avoir un semblant de paix.

J’ai aimé découvrir des personnages plutôt pittoresques.
Avec ce roman j'ai aussi découvert Patrick S. Vast.

Je remercie Taurnada Éditions   et Joël Maïssa  pour ce partenariat 

Présentation de l'éditeur :

Aux Bois radieux, une cité sensible du 93, vivent notamment les Butel, une famille de marginaux, ainsi que Violette Grignon, une retraitée que l'existence a rendue extrêmement méfiante.
La veille de Noël, Johnny Butel, âgé de 25 ans, dérobe les provisions d'un couple de seniors.
La semaine suivante, il récidive avec sa voisine Violette, qui, après avoir hésité, a emporté un revolver pour se rendre au centre commercial.
Les fêtes vont alors virer au cauchemar.

vendredi 14 février 2025

Les larmes d'Isis de Christian JACQ (Les enquêtes de l'inspecteur Higgins : Tome 49)

Ma fille cette année s’est souvenu de ma « passion » pour l’Egypte, pour Champollion. 
Merci pour ce cadeau.

Je possède en effet quelques livres écrit par Christian Jacq, à l’époque égyptologue passionné. 


L’occasion pour moi peut-être de retrouver les splendeurs d’une Egypte d’un autre temps, de me plonger à nouveau dans ce monde encore mystérieux.

Mais voilà, Christian Jacq est devenu auteur de romans policiers, avec un inspecteur Higgins assez quelconque.
Une histoire d’enlèvement pas très originale…
Une grosse déception donc que ce roman.
Ce roman est le 49ème d'une série de 53 ... (au moment où j'écris cet avis)

Histoire d'avoir appris quelque chose avec cette lecture:
Le prénom Onuphre vient de l'égyptien ancien : « éternellement beau ou bon », épithète d'Osiris ressuscité. Il a donné en italien Onofrio, (source Wikipédia)

Quatrième de couverture 

À Londres, Onnofrio et Isis Seatwell ont fondé l'Egyptian Center, un lieu d'enseignement prestigieux sur l'Egypte pharaonique. Couple très uni, les Seatwell sont admirés mais aussi jalousés pour leur réussite. Alors, quand Onnofrio ne rentre pas de l'anniversaire de son frère Stormy, où il s'est rendu seul, Isis se ronge les sangs. 

Accident, fugue ? L'inspecteur Higgins est chargé de l'affaire. Très vite, le témoignage de la soeur d'Isis, l'épouse de Stormy, l'intrigue : Onnofrio aurait été kidnappé, pendant la soirée d'anniversaire, par trois hommes dont elle donne les noms.

En suivant cette piste, Higgins pourrait bien découvrir une redoutable association de malfaiteurs..


jeudi 13 février 2025

La vallée des égarés de Céline SERVAT

C’est un roman plutôt violent, d’autant plus qu’il traite par certains égards de l’enfance maltraitée, malmenée. Les placements d’enfants mais aussi parfois les déplacements non justifiés.
Il y a les pages écrites en italiques, un enfant est victime de viols… ça revient , un leitmotiv angoissant, un enfant sacrifié…
Marco Minelli semble un peu perdu, c’est lui qui découvre un corps atrocement mutilé, sans doute une vengeance déclenchée par un viol. La peur des gendarmes empêche notre comptable de déclarer cette mort.
C’est un roman assez étrange. Marco Minelli a des pouvoirs, il coupe le feu, mais aussi il voit en rêve des morts et doit les aider. Il parait perdu. Je n’ai pas trop compris le rôle de Gabrielle.
J’ai lu ce livre très facilement. Les chapitres sont courts et nous suivons le récit de Marco, celui des gendarmes et celui d’une victime.

Présentation de l'éditeur:

Le Comminges. Dans ce coin tranquille, au pied des Pyrénées, la présence incongrue d'un corps mutilé va mobiliser les gendarmes de Salies-du-Salat, associés pour l'occasion à la section de recherche de Toulouse.
Marco Minelli, comptable sans histoires, se retrouve mêlé bien malgré lui à une enquête angoissante qui va le plonger dans les affres du doute, tiraillé entre la raison et la folie.
Ces petites bourgades aux ruelles paisibles abritent-elles la tanière d'un tueur sanguinaire ?
Qui sera la prochaine victime ?
 
Je remercie les éditions Taurnada et Joël Maïssa pour ce partenariat.

dimanche 9 février 2025

Et chaque fois, mourir un peu de Karine GIEBEL

 Livre 1 -  BLAST

C’est un héros des temps modernes que Giebel choisit comme personnage principal de son roman.

Pour Gregory, infirmier à la croix-rouge, comme pour beaucoup de ces hommes et femmes, se rendre où se trouvent les conflits, simplement armés de leur courage, c’est un sacerdoce. Il va dans ces pays en guerre, essayer de soigner les civils, pour la plupart des femmes et des enfants, des vieillards aussi.
Bien sur Grégory est particulier. Il excelle dans son métier d’ infirmier. Il s’investit corps et âme. 

Parce que c’est Giebel, elle va aussi lui faire vivre des drames dans sa vie personnelle.

C’est un roman prenant, il reflète la réalité de notre monde, de ces conflits. Après avoir lu « La peau » de Malaparte, j’ai compris la puissance des mots. Toujours plus forts que ces images dont nous inondent les médias et qui deviennent si banales, beaucoup trop banales.
J’ai eu cette impression d’être dans la réalité. Les femmes mutilées, les enfants soldats, les traumatismes et fêlures que rien, pas même l’amour ne peut calmer.

Ce n’est pas un roman que nous offre Karine Giebel, c’est la triste réalité des conflits actuels.
Excellent, bouleversant!

Quatrième de couverture:

De Sarajevo à Gaza, en passant par Grozny, la Colombie ou l'Afghanistan, Grégory se rend au chevet des sacrifiés sous l'égide de la Croix-Rouge internationale. Chaque victime sauvée est une victoire sur la folie des hommes. Chaque vie épargnée donne un sens à la sienne. Peu importe les cicatrices et les plaies invisibles que lui laisse chaque conflit.
Poussé par l'adrénaline, par un courage hors du commun et par l'envie de sauver ceux que le monde oublie, Grégory prend de plus en plus de risques.
Jusqu'au risque de trop. Jusqu'au drame...

Ne pas flancher, ne pas s'effondrer. Ne pas perdre la raison.
Choisir.
Sauver cette jeune fille, condamner cet adolescent. 
Soigner ce quadragénaire, laisser mourir cet enfant.
Choisir.
Endurer les suppliques d'une mère, d'un père.
Certains tombent à genoux devant lui, comme s'il était Dieu.
Choisir.
Tenter de sauver cette femme. 
Sacrifier sa petite fille qui n'a que peu de chances de survivre à ses blessures.
Choisir.
Et chaque fois, mourir un peu.


Mes lectures de Karine Giebel

dimanche 2 février 2025

Game over d' Isabelle VILLAIN

J’ai lu et j’ai aimé é cet opus.

On sent bien que Rebecca de Lost est fatiguée de tous ces meurtres, que de voir jouer des adeptes de jeux vidéos et de passer du virtuel au réel…!!! L’amour d’un père ne suffit hélas pas à sauver son fils.
Elle est moins attentive, moins vigilante et le violon de sa grand-mère la perturbe au-delà du rationnel.
Sa vie familiale est maintenant équilibrée.
J’ai aimé qu’Isabelle Villain épargne sa détective en la faisant évoluer de jolie façon dans sa carrière. Peut-être même va-t-on la retrouver évoluant dans la domaine de la recherche des oeuvres d’art?

Je remercie les éditions Taurnada et Joël Maïssa pour ce partenariat. 

Mes lectures d’Isabelle VILLAIN


Présentation de l'éditeur 

Une vieille dame meurt écrasée sous les roues d'un bus. Un nouveau fait divers dans les rues de Paris.
Cependant, d'autres « accidents » sont rapidement à déplorer, laissant présager que ces tragiques événements ne sont que les prémices d'un sombre dessein.
Le groupe de Lost se retrouve à la tête d'une affaire qui va bousculer toutes ses certitudes.
Frustration. Colère. Incompréhension. Impuissance…
Une course contre la montre au dénouement glaçant et inacceptable.

mercredi 22 janvier 2025

Lux de Maxime CHATTAM

Avant de donner mon avis, il vaut mieux savoir que, si j’aime Chattam, je n’aime ni les dystopies, ni la SF, ni les romans d’anticipation. Adolescente je dévorais Barjavel! 

Ils sont une dizaine, choisis par Simon pour vivre isolés du monde dans une sphère. Un huis clos où ils vont évoluer, donnant leur avis de néophytes sur le climat et les tempêtes qui deviennent de plus en plus fréquentes.

J’ai trouvé les personnages agréables à suivre. Zoé est sympa, sa fille Romy attachante malgré son parcours et à ses blessures. Ajoutons le chien René! Simon, déjà « mort » quand son fils est mort, ne retrouve le sourire que grâce à Zoé.

Un Chattam inattendu, toujours aussi agréable à lire.

Quatrième de couverture

Les scientifiques comme les religieux ne peuvent expliquer ce qu'elle est ni d'où elle vient. 
L
Elle va transformer pour toujours le quotidien du monde entier, en particulier l'existence d'une mère et de sa fille. 
U
Tout en posant la question qui nous obsède tous... 
X
Nos vies ont-elles un sens ?

jeudi 2 janvier 2025

Les guerriers de l'hiver d' Olivier NOREK

Norek nous emmène au coeur d’un conflit entre la Finlande, petit pays d'Europe du Nord, et la grande Russie de Staline, peu avant la deuxième guerre mondiale.
Le monde entier condamne, mais personne ne bouge, ou si peu.
Simo Häyhä, superbe tireur, snipper hors norme, surnommé « La mort blanche » va se battre pour son pays.
Malgré un héros et quelques personnages sympathiques, je suis hélas passée complètement à coté de ce roman.
J’y ai retrouvé  l’écriture du Norek que j’aime, mais l’histoire ne m’a jamais captivée et je n’ai continué ma lecture que parce que j’espérais y retrouver un peu de l’âme de Simo.

Quatrième de couverture:

« Je suis certain que nous avons réveillé leur satané Sisu.
– Je ne parle pas leur langue, camarade.
– Et je ne pourrais te traduire ce mot, car il n’a d’équivalent nulle part ailleurs. Le Sisu est l’âme de la Finlande. Il dit le courage, la force intérieure, la ténacité, la résistance, la détermination…
Une vie austère, dans un environnement hostile, a forgé leur mental d’un acier qui nous résiste aujourd’hui. »

Imaginez un pays minuscule.
Imaginez-en un autre, gigantesque.
Imaginez maintenant qu’ils s’affrontent.

Au cœur du plus mordant de ses hivers, au cœur de la guerre la plus meurtrière de son histoire, un peuple se dresse contre l’ennemi, et parmi ses soldats naît une légende.
La légende de Simo, la Mort Blanche.


Voici l'avis très positif de ma fille