Nous sommes au coeur de ce que des familles peuvent vivre de plus terrifiant, la disparition de jeunes enfants… Ils sont quatre, qui très vite seront suivis par notre chérubin.
Entrer dans le monde de Jean-Marc Dhainaut, c’est pénétrer dans l’univers des légendes, du paranormal. C’est avoir accès au monde magique des sorciers et sorcières, de l’ankou qui veut son quota d’âmes, des secrets bien gardés, des lieux mystiques, des caves et des maisons chancelantes. C’est admettre notre ignorance et découvrir un monde où la solidarité n’est pas vaine. Pour aller de l’avant, il ne faut pas oublier les horreurs de la guerre et les vestiges du passé.
J’ai beaucoup aimé cette enfance. J’ai moins aimé revenir dans le monde d’ Alan Lambin adulte et la fin du roman.
Mais la terreur atteint son paroxysme quand Alan, 6 ans, le petit-fils de Madenn Carvec, disparaît à son tour. Prête à tout pour le retrouver, elle devra s'aventurer au cœur des ténèbres et pousser les portes de l'enfer.