
J’ai regretté l’absence de certains peintres, mais il fallait faire un choix.
Mona c’est le fil rouge de cette histoire, on rencontre ses parents, ses amies…c’est une petite fille sympathique, avec les joies et les peurs des enfants de son âge.
Le regard de l’enfant est intéressant. Comme elle doit se concentrer sur une seule oeuvre, elle finira par en voir tout ce que le peintre a voulu montrer, ou même parfois cacher dans la toile.
Il y a cet élément clé de son enfance, cette grand-mère qui semble s’être volatiliser…lui offrant ce doux souvenir, ce collier dont elle ne se sépare pas.
On aurait pu se passer de ce professeur de français, pédant et méprisant. Mais Mona sait aussi parfois être insolente!
Une belle approche de l’art pictural.
Quatrième de couverture:
C'est le temps que s'est donné son grand-père, un homme érudit et fantasque, pour l'initier, chaque mercredi après l'école, à une œuvre d'art, avant qu'elle ne perde, peut-être pour toujours, l'usage de ses yeux.
Ensemble, ils vont sillonner le Louvre, Orsay et Beaubourg.
Ensemble, ils vont s'émerveiller, s'émouvoir, s'interroger, happés par le spectacle d'un tableau ou d'une sculpture. Empruntant les regards de Botticelli, Vermeer, Goya, Courbet, Claudel, Kahlo ou Basquiat, Mona découvre le pouvoir de l'art et apprend le don, le doute, la mélancolie ou la révolte, un précieux trésor que son grand-père souhaite inscrire en elle à jamais.

































