Le monde entier condamne, mais personne ne bouge, ou si peu.
Simo Häyhä, superbe tireur, snipper hors norme, surnommé « La mort blanche » va se battre pour son pays.
Malgré un héros et quelques personnages sympathiques, je suis hélas passée complètement à coté de ce roman.
J’y ai retrouvé l’écriture du Norek que j’aime, mais l’histoire ne m’a jamais captivée et je n’ai continué ma lecture que parce que j’espérais y retrouver un peu de l’âme de Simo.
Quatrième de couverture:
– Je ne parle pas leur langue, camarade.
– Et je ne pourrais te traduire ce mot, car il n’a d’équivalent nulle part ailleurs. Le Sisu est l’âme de la Finlande. Il dit le courage, la force intérieure, la ténacité, la résistance, la détermination…
Une vie austère, dans un environnement hostile, a forgé leur mental d’un acier qui nous résiste aujourd’hui. »
Imaginez un pays minuscule.
Imaginez-en un autre, gigantesque.
Imaginez maintenant qu’ils s’affrontent.
La légende de Simo, la Mort Blanche.
Voici l'avis très positif de ma fille
Bonsoir, eh bien moi, j'ai aimé ce roman avec une histoire qui m'a intéressée car je ne la connaissais pas. Bonne soirée.
RépondreSupprimerBonjour. Ma fille (voir le lien de l'article) et mon mari ont adoré, et Antony, mon petit fils (13 ans) est en train de le lire. Mais je suis passée à côté de ce roman.
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