Traduit de l'américain par Jacques MailhosMon avis:
J'ai été profondément choquée qu'on puisse distribuer ainsi à de jeunes enfants, bien sûr orphelins, des tranquillisants. Ces fameuses pilules vertes dont Beth aura besoin très longtemps. (C'était malheureusement courant à l'époque).
Le jeu d’échecs est tout d’abord pour Beth un magnifique moyen d’évasion. Sans doute comprenant cela, la directrice de l’institut qui s’occupe d’elle la punit en lui interdisant de jouer.
C’est malgré tout une élève brillante, elle sera adoptée.
Sa mère adoptive comprendra les atouts de l’enfant et l’aidera à s’épanouir.
Dans les années soixante les tournois semblent peu ouverts aux femmes.
Elle est jeune ! (C’est moins un handicap pour les garçons !)
Elle est femme !
Il lui faut donc un sacré caractère pour s’imposer, imposer le respect.
Je ne joue pas aux échecs, mais j’ai quelques notions. J’ai quand même eu beaucoup de mal avec les descriptions des parties… J’avoue que parfois j’ai « raccourci » la partie en abrégeant la lecture.
L’auteur ne donne pas une belle image de ce sport cérébral. Les personnages du roman sont pratiquement tous antipathiques. Est-ce de l’inconscience ou du courage dont Beth fait preuve ? Il est vrai que même ses premières règles ne l’ont pas perturbée.
C’est une lecture
Je confirme que je n'ai pas vu la série, je n'ai pas Netflix,
je ne savais même pas qu'il y avait eu une adaptation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire