Quatrième de couverture
Traduit de l'anglais (Canada) par Santiago Artozqui.
Comme s'il s'agissait d'acteurs, l'auteur nomme un à un les quinze chiens auxquels Hermès et Apollon ont donné conscience et langage. Il nous donne leur race et leurs caractéristiques. Afin de mieux visualiser le texte, je suis parfois revenue à cette liste.
S'échappant sans problème ils vont créer une meute et choisir pour territoire un parc de Toronto.
Si au début ils sont unis, communiquent et forment plus une communauté qu'une meute, très vite vont apparaitre des divergences d'opinions.
Atticus veut nier leur différence et devenir le chef. Rester chien, refuser le changement. Il n'hésite pas par la ruse ou par la force à éliminer ceux qui ne partagent pas son avis. Pourtant, même pour lui, rien n'est simple… Qu'est-ce donc que cet étrange lien qui le relie malgré lui à Rosie?
Je n'ajouterai rien sûr les chiens qui composent la meute. Chacun est à sa façon intéressant.
Majnoun, laissé pour mort, sera sauvé par Nira (une humaine!). Une étrange relation va naître entre-eux.
Et puis, il y a Prince, le poète, sauvé par Hermès de la furie de Atticus, Prince, qui jusqu'au bout écrit des poèmes.
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