Quatrième de couverture
Traduit de l'anglais (Écosse) par Françoise Lévy-Paolini
Il est très difficile de rester serein face à ce roman. La narratrice, Janie Ryan nous raconte sa vision du monde autour d'elle de sa naissance, de son premier cri, jusqu'au moment où, elle quitte le giron familial.
La jeunesse de sa mère, Iris, n'est certainement pas une excuse, (j'ai connu des jeunes femmes, devenues mères très tôt qui sont devenues d'excellentes mamans, attentives à donner le meilleur à leur enfant!), mais plutôt le milieu d'où vient Iris. La drogue, l'alcool, la pauvreté intellectuelle (plus que pécuniaire) et cette immense solitude.
Pourtant on sent l'amour qu'éprouve Iris pour Janie, mais il n'existe pas de mots d'amour sans preuve…
J'ai ressenti cette même impression qu'en voyant " La tête haute", comment peut-on aider ces femmes, ces mères? Comment épargner les enfants?
Bonsoir,
RépondreSupprimerJe viens de lire ta critique, je vais me le noter pour plus tard !!
bonne soirée
Je lirai avec intérêt ton billet, c'est pas simple de garder son sang-froid face à la vie offerte à Janie!
SupprimerIl est dans ma wish-list et en lisant ton avis je vais voir pour me le procurer assez vite ;)
RépondreSupprimerBon dimanche !
C'est aussi une idée originale, voir la perception qu'a l'enfant de son entourage!
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