lundi 22 juin 2015

L'oiseleur

Max BENTOW
Couverture, graphisme: Stanislas Zygart
Quatrième de couverture

Seul point commun de ses victimes : une abondante chevelure blonde qui semble rappeler les plumes d’oiseaux dont il couvre leur corps…
L’inspecteur Nils Trojan traverse une phase difficile. Divorcé, père d’une fille unique, il consulte en secret une fois par semaine la psychologue Jana Michels car il souffre de crises d’angoisse. En tant qu’inspecteur de la brigade criminelle, il ne peut se permettre de montrer le moindre signe de faiblesse.
Un jour, dans un quartier populaire de Berlin, il trouve le corps d’une jeune femme, violemment assassinée. Elle a le crâne rasé, recouvert de plumes, et un oiseau mort a été placé à l’intérieur de la plaie mortelle. Avant que Trojan n’ait le temps de comprendre ce qui s’est passé, l’Oiseleur frappe à nouveau, laissant la même signature macabre. L’inspecteur comprend très vite que l’Oiseleur est attiré par les femmes jeunes, blondes, à l’épaisse et ondoyante chevelure… Exactement le portrait de Jana. Dès lors, un duel à mort s’engage entre Nils Trojan et le dangereux psychopathe.
Traduit de l'allemand par Céline Hostiou.

J'ai lu ce roman très rapidement. Nous sommes à Berlin. L'inspecteur Nils Trojan ne va pas très bien. Divorcé, il vit seul mais a un lien assez fort avec son unique fille. Il partage avec elle de bons moments, même s'il regrette le temps de l'enfance. Il fait des crises d'angoisse, et pour tenter d'y remédier, en cachette de sa hiérarchie, il voit Jana Michels, une psychologue.
Fait-il un transfert? On le sent en tout cas désireux d'aller plus loin avec sa thérapeute, de ne plus être son patient. C'est à ce moment qu'un tueur particulièrement sadique apparait sous un déguisement d'oiseau. 
Ce tueur menace Nils Trojan.
Je ne sais pas ce que je garderai de ce roman, mais sa lecture en fut agréable. L'auteur, en changeant de narrateur donne à son texte un ton particulier. Tous les ingrédients d'un bon polar sont réunis, et la fin laisse supposer qu'il y aura une suite.

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