Elle se retrouve au village de Mahäbalipuram, son désespoir est tel qu’épuisée, une vague l’emporte. Sauvée par la petite fille au cerf-volant, elle découvre ce pays, les castes et leurs insupportables traditions. Plus particulièrement La caste des « intouchables », la plus misérable où les enfants travaillent, les femmes sont asservies. Au nom de la tradition, des mariages arrangés de petite fille à peine pubères… Des vies vouées à la misère, la soumission et l’esclavage.
Laeticia Colombani nous offre un joli roman sur la résilience. Se reconstruire en donnant ce que l’on est davantage que ce que l’on a.
Quatrième de couverture :
Brisée par un drame personnel, Léna abandonne la France et son poste d'enseignante pour partir en Inde, au bord du golfe du Bengale. Un matin, alors qu'elle nage dans l'océan, elle manque de se noyer. Une petite fille qui jouait au cerf-volant court chercher de l'aide.
Comment la remercier ?... Âgée de dix ans, la petite travaille dans un restaurant et ne sait ni lire ni écrire. Entourée d'un groupe de filles du village et de leur cheffe, la tumultueuse Preeti, Léna se lance dans un incroyable projet : fonder une école pour tous les enfants du quartier qui en sont privés.
Au cœur d'une Inde tourmentée commence une aventure où se mêlent l'espoir et les désillusions, la volonté face aux traditions, et le rêve de changer la vie par l'éducation.
Il faut vraiment que je le lise celui-ci :)
RépondreSupprimerJ'attend ton avis avec impatience!
SupprimerDe cette autrice, La tresse me tente davantage pour le moment.
RépondreSupprimerJ'ai aussi aime "La tresse". Mon préféré c'est "Les victorieuses" .
SupprimerBon week-end!
J'avais déjà beaucoup aimé découvrir la société indienne constituée de castes dans La Tresse. J'aimerais beaucoup m'y replonger avec Le cerf-volant.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les thèmes choisis pas Laeticia Colombani. J'aime beaucoup aussi son écriture, donc je recommande sa lecture!
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