mardi 6 octobre 2020

Elle s'appelait Michèle de René MESTRALLET


 


Quatrième de couverture :

Dans chaque maison, bien enfouis sous les piles de drap, se meurent des secrets de famille.

Inspiré de tous ces non-dits, ce roman nous entraîne de la Provence sous l’occupation allemande à la quête de la vérité sur la disparition de deux enfants dans le Berlin de l’après-guerre.

La lumière éclatera enfin, sous le soleil d’un matin d’août 2016…

Mon avis :

Albert, alcoolique notoire, rencontre Michèle, puis Yves, le petit frère de la "Dame Blanche", qui raconte la guerre et Müller. Albert décide de chercher ce que sont devenues les deux fillettes. On va suivre ce périple qui le mènera à Berlin…C'est un parcours intéressant, une histoire peu banale.
Ce roman est très court. 
René Mestrallet donne un prénom à cet étrange mythe, un but à l'errance de la jeune femme. Michèle cherche sans fin ses filles disparues depuis si longtemps…




Je crois que la première fois que j'ai entendu parler de "La dame blanche", j'étais adolescente, à Nouméa. L'histoire était vraie, palpable, la peur présente, l'histoire est intemporelle. Puis à l'internat, à Argelès-Gazost. Quelques variantes bien sur…Une jeune femme, en blanc, sous la pluie, un homme désireux d'aider, le gilet blanc oublié dans la voiture, ramené à sa famille, l'horreur de découvrir qu'il appartenait à une jeune fille morte, enterrée avec …le gilet selon les versions devenait châle. Mais c'est toujours un accident de voiture, par temps de pluie qu' on rencontrait  cette jeune femme.


Chouette effraie, 
couramment appelée 
"Dame blanche"

2 commentaires:

  1. Un livre qui a l'air intéressant ! et oui, c'est bien toujours par tant de pluie et par un accident de voiture que l'on connaît l'histoire de la Dame Blanche.
    Je te souhaite une bonne journée, bises

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    1. En plus elle est intemporelle... Elle franchit les générations!
      Bises Céline.

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