Quatrième de couverture:
L'innocence, aux frontières de la catastrophe.
L'enfance que l'on rafistole dans ses souvenirs avec tendresse et lucidité.
Derrière la délicatesse des récits finement ciselés,
Derrière la délicatesse des récits finement ciselés,
Beata Umubyeyi Mairesse laisse sourdre la violence
qui a frappé sa génération rwandaise, au printemps 1994.
Celles et ceux qui n'étaient encore que des enfants,
Celles et ceux qui n'étaient encore que des enfants,
celles et ceux qui sont devenus parents.
Un enchevêtrement de vies qui se croisent sur plusieurs décennies.
La brillante nouvelliste dessine ainsi une mosaïque aux couleurs vives
La brillante nouvelliste dessine ainsi une mosaïque aux couleurs vives
et offre un portrait de groupe subtil où se mêlent
désenchantement, magie et espoir.
Mon avis:
Un recueil très poétique. Quinze nouvelles qui traitent d'un sujet difficile.
Des histoires d'avant, d'après et de pendant les cents jours.
Mais surtout des histoires d'enfants, de femmes et d'hommes.
Des histoires tristes, des histoires amusantes.
Je ne suis pas passée du rire aux larmes, mais du sourire à la tristesse.
C'est un joli recueil, c'est une belle écriture!
Mon petit plus:
"Sinjye wahera hachera umugani !"
Que ce ne soit pas ma fin mais celle du conte!
Mes lectures de Beata Umubyeyi Mairesse
Pour info: Les cents jours "7 avril 1994 -17 juillet 1994"
Merci pour cet avis.
RépondreSupprimerUne auteure que j'ai très envie de découvrir.
J'ai un gros faible pour elle en tout cas.
SupprimerComme écrivaine, et aussi comme être humain!
Oh ! ça a l'air émouvant.
RépondreSupprimerJe ne connais pas du tout et te remercie pour cette découverte.
Bon après-midi, à bientôt !
C'est en effet un recueil émouvant.
SupprimerMerci du passage Céline. Bises.