Quatrième de couverture
Quand Shoko est transférée dans une nouvelle école, elle fait de son mieux pour dépasser ce handicap, mais malgré ses efforts pour s’intégrer dans ce nouvel environnement, rien n’y fait : les persécutions se multiplient, menées par Shoya Ishida, le leader de la classe. Tour à tour intrigué, fasciné, puis finalement exaspéré par cette jeune fille qui ne sait pas communiquer avec sa voix, Shoya décide de consacrer toute son énergie à lui rendre la vie impossible.
Tour à tour psychologiques puis physiques, les agressions du jeune garçon se font de plus en plus violentes... jusqu’au jour où la brimade de trop provoque une plainte de la famille de Shoko, ainsi que l’intervention du directeur de l’école. Ce jour-là, tout bascule pour Shoya : ses camarades, qui jusqu’ici ne manquaient pas eux non plus une occasion de tourmenter la jeune fille, vont se retourner contre lui et le désigner comme seul responsable…
Traduction de Géraldine Oudin
Adaptation graphique de Hinoko.
Je n'ai jamais aimé lire les bandes dessinées. Les Asterix, que j'achète systématiquement lors de leur sortie ne font le bonheur que de mes enfants et de leur père et aujourd'hui peut-être celui de mes petits-enfants. J'ai toujours trouvé Tintin misogyne, et je ne le regarde que de loin…Oui, j'avoue, même les grands classiques, ceux considérés comme des chefs d'oeuvre m'ennuient au bout de quelques pages. Je leur préfère les dessins humoristiques tel "le chat" qui par leur forme courte n'ont pas le temps de me lasser.
Donc ce manga était pour moi un vrai défi.
L'histoire parlant du harcèlement et de l'intégration en milieu scolaire, puis dans la vie tout court est intéressante. J'imagine que si ce premier tome leur plait, j'achèterai les autres pour mes petits-enfants et leur père, mais je n'irai pas jusqu'à les lire. Le manga en lui même ne fait pas parti des arts graphiques que j'aime. Je trouve étrange que des asiatiques dessinent des yeux aussi ronds , et je remercie Alexandre de ses explications.
En revanche, si elle m'a déroutée au début, la lecture de droite à gauche ne m'a pas gênée.
Lecture commune novembre/décembre 2015 |
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