mardi 6 octobre 2015

Mr Mercedes

Stephen KING
Quatrième de couverture

Foncer sur une foule dans sa SL 500 12 cylindres : le moment le plus grisant de la vie de Mr Mercedes.
Et le carnage lui a tellement plu qu'il n'a qu'une envie : recommencer. Au plus vite…

Le livre commence par une vision cauchemardesque, au moins pour ces demandeurs d'emploi, debout aux aurores parce qu'ils veulent décrocher un "job", sûrement mal payé d'ailleurs, pour pouvoir sortir de ce quotidien de misère…
Le gentil, c'est Hodges, inspecteur à la retraite. On va le suivre, avec "ses amis, ses amours, ses emmerdes…". Le méchant, c'est Brady, sans amis, sans amours, donc sans "emmerdes", mais sacrément flippant.
J'ai beaucoup aimé cette lecture. Brady me laissant un goût amer, je préférai poser mon roman sur Hodges, plus optimiste… et finalement, j'ai bravé la nuit, me disant… "Demain, tu marcheras au radar, mais il faut que tu saches…"
Je dois dire qu'à la toute fin, en lisant les dernières lignes de l'ouvrage, j'ai souri "Ha bien sûr, normal, c'est King  tout de même."

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