Couverture: Catherine Mcbride |
Quatrième de couverture
Il découvre là une liberté qu’il n’a jamais connue et un moyen sûr de s’éloigner de son entourage, et surtout de sa femme qui l’a toujours régenté. Il décide alors de se plonger dans les joies de la démence, la sénilité et l’incontinence… et finit par être interné dans une institution…
La maison de retraite lui réserve quelques surprises, comme les retrouvailles avec son amour de jeunesse et la rencontre avec des pensionnaires aussi déjantés que lui.
Traduit du néerlandais par Danielle Losman.
Je n'ai pas du tout aimé le héros de ce roman. Désiré Cordier va simuler la maladie d'Alzheimer pour échapper à son épouse. J'ai préféré supposer que notre homme était atteint depuis bien longtemps d'une maladie mentale non diagnostiquée tant cette situation m'a parue tragique. Il y a tant de façon de fuir un mariage, mais notre homme est sans doute un passif, il prétend avoir subi son épouse, mais nous n'avons que sa version. C'est un avis plutôt machiste, le point de vue d'un homme qui, s'il est passé à côté de sa vie n'y voit qu'une raison: "C'est la faute de sa femme".
Sans se soucier du mal qu'il provoque autour de lui, de ses enfants, et en particulier de sa fille, il s'enfonce dans les absurdités, se perd dans des délires, juste pour blesser.
Sa vie dans une maison de retraite nous donne un aperçu de ce que peuvent vivre des personnes âgées dépendantes, mais c'est très succinct. En tout cas pas suffisant pour me faire changer de point de vue. Je n'ai pas aimé cette histoire, je n'ai pas aimé Denis Cordier, je suis passé à côté de ce roman.
Je ne connais pas du tout ce livre mais il aurait pu me plaire si l'on avait la version de la femme effectivement.
RépondreSupprimerJe n'ai en tout cas pas aimé du tout ce roman.
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