dimanche 17 janvier 2021

Je, François Villon de Jean TEULÉ

 


Quatrième de couverture

Il est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d'Arc.  On a pendu son père et supplicié sa mère. Il a étudié à l'université de Paris. Il a joui, menti, volé dès son plus jeune âge. Il a fréquenté les miséreux et les nantis, les curés, les assassins, les poètes et les rois.  Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Il a commis tous les actes qu'un homme peut commettre. Il a traversé comme un météore trente années de l'histoire de son temps.  Il a ouvert cette voie somptueuse qu'emprunteront à sa suite tous les autres poètes: l'absolue liberté. 

Mon avis: 

Ce n'est pas une lecture facile. 


J'aime le poète, j'aime François Villon. 
Je savais que malgré une bonne éducation il avait été un mauvais garçon, un délinquant dirait-on aujourd'hui. 
Je savais qu'il avait vécu de rapines, de fuites, qu'il avait assassiné, fréquenté des milieux "maffieux" et les bandes de bandits de grand-chemin. Je ne l'avais jamais imaginé pervers. 
Je ne sais pas si je pourrai lui pardonner Isabelle de Bruyère.

Mais là encore, j'avais oublié le Moyen-âge, sa violence, ses tortures et ses recluses. 
Teulé m'a donné envie de me replonger dans Villon. 
J'aime qu'il aie traduit certains poèmes. 
Parce lire Villon demande souvent une interprétation, une traduction. 

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