Quatrième de couverture :
Rires ébréchés et souvenirs parfumés
portent la voix d'une femme,
survivante, militante, mère, amoureuse.
Autant de paroles semées, germées, cueillies, qu'elle nous offre,
faisant un pied de nez au malheur.
Un recueil pour être entendue, dans lequel chaque pas et prise de conscience sont champs d'espoir à cultiver.
Un recueil pour être entendue, dans lequel chaque pas et prise de conscience sont champs d'espoir à cultiver.
Des bouquets de mots aux senteurs d'adolescence, de blessure et d'espoir.
Épines et merveilles mêlées.
Épines et merveilles mêlées.
Mon avis :
Seize poèmes, 83 pages de poésie.
Passé, présent, avenir, la poésie est intemporelle et Beata Umubyeyi Mairesse s'en sert à merveille.
Ce n'est pas un recueil facile à lire, facile à comprendre…
Lire ne suffit pas, relire est essentiel.
J'ai aimé lire ces poèmes, en sauter un, puis revenir…
Aller plus loin et reprendre le fil.
Lectrice capricieuse! Mais lectrice assidue et séduite.
Une marche à ne pas forcément suivre!
Poste restante
Perdu
Volé
Racheté
Vivre OH présent
Moments abîmés
Clandestinement
Mon petit plus:
J'ai choisi de vous offrir ce poème : "Volé page 50 n° 10"
Les mystères se sont étiolés,
l’oublioir est passé
Les singes du zoo suivent en épisodes
les joies les peines de leurs gardiens
Le dimanche après la messe à la télé
une armée de paresseux en légers canoës
affronte l’inconnu et ses dangers
Dans leur dos ça supplie « partez »,
à l’arrivée ça aboie « partez »
Le nouvel ordre mondial
Tout au bout de l’allée des jouets
les costumes d’explorateurs
sont en solde depuis une paire d’années
Gardien, voilà un métier qui fait rêver
de zoo, de but ou de barbelés
Qu’importe pourvu que le poste soit assuré
Cela a l'air d'être un joli recueil de poèmes... pour ma part, j'ai parfois du mal à comprendre ce genre de lecture : il me faut plusieurs relectures afin de comprendre vraiment le sens.
RépondreSupprimerBon dimanche ! bises
Pour découvrir Beata Mairesse, ce n'est pas ce recueil que je conseillerai.
SupprimerMais il est superbe quand même.