Quatrième de couverture:
Été 1965. Shell s’enfuit de la station-service où il a grandi avec ses parents. Sur le plateau qui surplombe la vallée de l’Asse, seuls se déploient le silence et les odeurs du maquis. Une fille, comme un souffle, vient à sa rencontre. Avec elle, tout s’invente et l’impossible devient vrai. Dans l’univers fulgurant de Viviane, Shell ne se sent plus différent. Alors par jeu, par amour, il lui obéit, sans s’apercevoir que son dévouement le conduit bien au-delà de ce qu’il avait imaginé.
Mon avis:
C'est un enfant pas tout à fait comme les autres, c'est un enfant différent, c'est un enfant fragile.
Et nous allons avec lui vivre cet été 1965, ce bel été, c'est été où il part, parce qu'il prend peur, et parce qu'il veut devenir un homme, et pour devenir un homme, il faut partir à la guerre.
Il sera tour à tour ermite, berger, amoureux. Il dormira, malgré ses peurs, à la belle étoile, dans une bergerie au toit troué. Il se nourrira de peu, d'arbouses… et sera nourri par sa reine, sa Viviane. Il sera Diego de la Vega. Il apprendra un peu plus de la vie avec Matti.
C'est hors du temps, hors des sentiers battus, c'est beau, c'est triste.
C'est un roman sur les différences, la solitude, l'exclusion et l'acceptation.
Et nous allons avec lui vivre cet été 1965, ce bel été, c'est été où il part, parce qu'il prend peur, et parce qu'il veut devenir un homme, et pour devenir un homme, il faut partir à la guerre.
Il sera tour à tour ermite, berger, amoureux. Il dormira, malgré ses peurs, à la belle étoile, dans une bergerie au toit troué. Il se nourrira de peu, d'arbouses… et sera nourri par sa reine, sa Viviane. Il sera Diego de la Vega. Il apprendra un peu plus de la vie avec Matti.
C'est hors du temps, hors des sentiers battus, c'est beau, c'est triste.
C'est un roman sur les différences, la solitude, l'exclusion et l'acceptation.
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