Quatrième de couverture:
Hap, ancien activiste hippie et rebelle plouc autoproclamé, et Leonard, vétéran du Vietnam dur à cuire, noir, gay, républicain et addict au Dr Pepper, sont sur un banal contrat de surveillance dans l'est du Texas. Alors que la planque sans intérêt touche à sa fin, ils aperçoivent un homme qui maltraite son chien. Leonard règle l'affaire à coups de poing. Résultat : l'agresseur de chien, salement amoché, veut porter plainte. Une semaine plus tard, une certaine Lilly Buckner débarque dans leur nouvelle agence de détectives privés pour leur faire une proposition : soit ils acceptent de retrouver sa petite-fille, soit elle livre à la police une vidéo de Leonard tabassant l'agresseur de chien. Le duo accepte de rouvrir ce vieux dossier et découvre que le concessionnaire d'occasion où travaillait Lilly cache de sombres secrets.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Frédéric Brument.
Mon avis:
Hap et Leonard, peu banals!
Hap vit avec Brett (plutôt sympa! j'aime beaucoup!) quant à Léonard il semble en éternelle rupture avec son amoureux John.
Ils parlent beaucoup… et très souvent pour ne rien dire, ou alors pas grand chose, ou des petits riens.
Ils sont déjantés, mais ont un coeur gros comme ça… à protéger les chiens, à aider les vieilles dames, même acariâtres.
On pourrait traduire "Honky Tonk" par bastringue, tripot. On retrouve chez nos samouraïs le langage propre aux lieux populaires, fréquentés par des joueurs, des buveurs et autres habitués lieux mal fréquentés.
Ils parlent beaucoup… et très souvent pour ne rien dire, ou alors pas grand chose, ou des petits riens.
Ils sont déjantés, mais ont un coeur gros comme ça… à protéger les chiens, à aider les vieilles dames, même acariâtres.
On pourrait traduire "Honky Tonk" par bastringue, tripot. On retrouve chez nos samouraïs le langage propre aux lieux populaires, fréquentés par des joueurs, des buveurs et autres habitués lieux mal fréquentés.
J'ai pris plaisir à cette lecture atypique.
Mon petit plus:
Les ours se dressent sur leurs pattes arrières et hurlent pour montrer leur supériorité.
En lisant les dialogues, j'ai parfois eu cette impression … d'hommes qui se comportent en plantigrades!
J'avais beaucoup aimé "Les enfants de l'eau noire" du même auteur.
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