samedi 14 avril 2018

Maktub de Paulo COELHO


Quatrième de couverture

"Le voyageur songe à sa propre vie. Comme toute existence, elle est faite des fragments de tout ce qui lui est arrivé : les situations qu’il a vécues, des extraits de livres qu’il n’a pas oubliés, les enseignements de son maître, des histoires que lui ont contées un jour ses amis, des réflexions sur son époque et sur les rêves de sa génération… Et il s’efforce de comprendre sa propre construction spirituelle."
Recueil de paraboles inspirées à l'auteur par les sources et les folklores les plus divers, Maktub représente un trésor coloré de sagesse. Ces textes courts sont nés d'une contribution de Paulo Coelho au quotidien brésilien Folha de São Paulo.
Traduit du Portugais (Brésil) par Françoise Marchand-Sauvagnargues.

Mon avis 

Je me suis profondément ennuyée en lisant ce livre. Cette suite de paraboles, d'anecdotes a parfois déclenché chez moi des crises de bâillements… 
Je ne vais pas jeter le bébé avec l'eau du bain, j'ai quelquefois (rarement) souri! 
C'est sans doute pour cette raison que j'ai poursuivi ma lecture! L'espoir de quelque chose de neuf, sinon d'amusant au moins original!  
Maktub (ou mektub) signifie "C'est écrit", c'est exactement ce que j'ai ressenti, une suite de textes très communs!
Ce n'est pas mon premier Coelho

Un tout petit plus

Je ne suis pas anarchiste, pas tout à fait mécréant(e) mais en lisant "Maktub, j'ai malgré moi pensé "Ni Dieu ni maître"!

Léo Ferré (extrait)

Le fardeau blême qu'on emballe
Comme un paquet vers les étoiles
Qui tombent froides sur la dalle
Et cette rose sans pétales
Cet avocat à la serviette
Cette aube qui met la voilette
Pour des larmes qui n'ont peut-être
Ni Dieu ni maître

Ces bois que l'on dit de justice
Et qui poussent dans les supplices
Et pour meubler le sacrifice
Avec le sapin de service
Cette procédure qui guette
Ceux que la société rejette
Sous prétexte qu'ils n'ont peut-être
Ni Dieu ni maître

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