C’est ma première lecture de Karin Slaughter, et je dois bien avouer que je suis perplexe. J’ai aimé Sara Linton et Will Trent, leur relation, mais aussi leur personnalité.
J’ai aimé l’histoire, contrer ce monstre qu’est Dash, ces idées, mais surtout cette perversion sans nom… le anti héros dans toute sa splendeur. Il résume à lui seul le Mal.
Cette incursion au cœur même de ce qui me parait être une secte, l’enlèvement de Sara parce qu’elle est pédiatre, pour tenter enrayer une épidémie de rougeole.
Oui, le roman avait tout, même le sordide pour me plaire.
L’histoire et la tension montent crescendo, jusqu’à l’apothéose… Magnifique… et l’épilogue, tout en douceur !
Mais voilà, j’ai quand même écouté « Daniel Pennac » en suivant « Les droits imprescriptibles du lecteur » et sauté quelques pages (droit numéro 2).
Ce groupuscule paramilitaire aux airs de secte prévoit de multiplier les attaques terroristes à l'échelle nationale afin de rétablir la suprématie de l'homme blanc.
La menace est sans commune mesure. Le danger, imminent. Ensemble, Will et Sara parviendront-ils à déjouer l'attentat le plus meurtrier du xxie siècle ?
Karin Slaughter
Illustration par Jillian Tamaki
19juillet 2018
The new York Times
Merci pour la découverte, je ne connaissais pas du tout, juste l'autrice de nom.
RépondreSupprimerJe prends note, peut-être que ça pourrait me plaire et ça m'intrigue.
Bonne journée !
Effectivement, je découvre Karin Slaughter alors qu'elle a déjà 24 livres à son actif. En tout cas sur Livraddict!
SupprimerBonne soirée Céline!