Quatrième de couverture :
Cinq petites filles ont disparu. Cinq petites fosses ont été creusées dans la clairière. Au fond de chacune, un petit bras, le gauche.
Depuis qu'ils enquêtent sur les rapts des fillettes, le criminologue Goran Gavila et son équipe ont l'impression d'être manipulés. Chaque découverte macabre oriente vers un assassin différent. Lorsqu'ils découvrent un sixième bras, appartenant à une victime inconnue, ils appellent en renfort Mila Vasquez, experte en affaires d'enlèvement.
Dans le huis clos d'un appartement, Gavila et ses agents vont échafauder une théorie à laquelle nul ne veut croire…
Traduit de l'italien par Anaïs Bokobza
Mon avis:
Lorsque je lis un roman « inspiré de faits réels » j’ai toujours une petite arrière-pensée : Cette mention est-elle ici pour accentuer le sordide de l’histoire ? Suis-je donc censée avoir une émotion plus forte qu’à la lecture d’un thriller « non inspiré de faits réels ?
Peu importe, sans les romanciers l’être humain ne manque pas d’imagination pour autour de lui faire le mal, détruire, salir, corrompre.
Il met très mal à l’aise, cet homme sans nom, découvert nu et très, sans doute trop, attaché, à l’hygiène.
J’ai adoré ce roman, aucun personnage n’est insignifiant. Chacun a une histoire, un vécu, et nous découvrons ainsi leurs failles, mais aussi leurs forces.
Au fil des pages, il y a toujours un rebondissement, une nouvelle anecdote, venu parfois du passé, ou de l’imagination. On ne sait pas toujours à qui se fier, mais on est aux cotés de Mila Vasquez, pour le meilleur, et pour le pire !
Dur de laisser ce roman de coté quand on l’a commencé, c’est une lecture addictive, un roman « tourne-page »
Lorsque je lis un roman « inspiré de faits réels » j’ai toujours une petite arrière-pensée : Cette mention est-elle ici pour accentuer le sordide de l’histoire ? Suis-je donc censée avoir une émotion plus forte qu’à la lecture d’un thriller « non inspiré de faits réels ?
Peu importe, sans les romanciers l’être humain ne manque pas d’imagination pour autour de lui faire le mal, détruire, salir, corrompre.
Il met très mal à l’aise, cet homme sans nom, découvert nu et très, sans doute trop, attaché, à l’hygiène.
J’ai adoré ce roman, aucun personnage n’est insignifiant. Chacun a une histoire, un vécu, et nous découvrons ainsi leurs failles, mais aussi leurs forces.
Au fil des pages, il y a toujours un rebondissement, une nouvelle anecdote, venu parfois du passé, ou de l’imagination. On ne sait pas toujours à qui se fier, mais on est aux cotés de Mila Vasquez, pour le meilleur, et pour le pire !
Dur de laisser ce roman de coté quand on l’a commencé, c’est une lecture addictive, un roman « tourne-page »
Donato Carrisi
Photo source Twitter
Décembre 2011
La fille dans le brouillard
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