Quatrième de couverture
FACE AU MAL QUI SE PROPAGE
ET QUI A TUÉ SA FILLE
POUR LES MILLIONS DE VICTIMES PASSÉES
ET LES MILLIONS DE VICTIMES À VENIR
VIRGIL SOLAL ENTRE EN GUERRE,
SEUL, CONTRE DES GÉANTS.
Mon avis :
Norek est bien documenté, tout ce qui est dit est vrai. Solal n’est pas antipathique, même si je n’ai pas compris pourquoi il abandonne Laura alors qu’elle avait sans doute besoin de lui.
Pourquoi n’ai-je pas aimé ce roman ?
Pourquoi moi qui aime tant Norek, je n’ai pas adhéré à cette histoire.
L’écologie se vit au quotidien, tout ce que Norek écrit, nous le savons. Est-ce le côté anticipation que je n’ai pas aimé ?
J’espère que le Val d’Azun qui m’est si cher, que Cauterets et son Pont d’Espagne resteront blottis au fond de leur vallée.
Dans les années 70 René Dumont tentait de nous avertir.
« Je bois devant vous un verre d’eau précieuse, puisqu’avant la fin du siècle, si nous continuons un tel débordement, elle manquera. »
Pourquoi moi qui aime tant Norek, je n’ai pas adhéré à cette histoire.
L’écologie se vit au quotidien, tout ce que Norek écrit, nous le savons. Est-ce le côté anticipation que je n’ai pas aimé ?
J’espère que le Val d’Azun qui m’est si cher, que Cauterets et son Pont d’Espagne resteront blottis au fond de leur vallée.
Dans les années 70 René Dumont tentait de nous avertir.
« Je bois devant vous un verre d’eau précieuse, puisqu’avant la fin du siècle, si nous continuons un tel débordement, elle manquera. »
Les rives du gave d'Azun
Argelès-Gazost
Juin 2019
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