dimanche 29 août 2021

Impact d' Olivier NOREK

 


Quatrième de couverture

FACE AU MAL QUI SE PROPAGE
ET QUI A TUÉ SA FILLE

POUR LES MILLIONS DE VICTIMES PASSÉES
ET LES MILLIONS DE VICTIMES À VENIR

VIRGIL SOLAL ENTRE EN GUERRE,
SEUL, CONTRE DES GÉANTS.

Mon avis :

J’ai discuté un long moment avec ma fille, qui a adoré ce roman. Entre les pages, des post-it, des commentaires d’une lecture commune que Laurence a faite avec une amie. J’aime bien, c’est très agréable de lire leurs différents commentaires. Elles sont plutôt positives dans leurs annotations.

Norek est bien documenté, tout ce qui est dit est vrai. Solal n’est pas antipathique, même si je n’ai pas compris pourquoi il abandonne Laura alors qu’elle avait sans doute besoin de lui.

Pourquoi n’ai-je pas aimé ce roman ?
Pourquoi moi qui aime tant Norek, je n’ai pas adhéré à cette histoire.
L’écologie se vit au quotidien, tout ce que Norek écrit, nous le savons. Est-ce le côté anticipation que je n’ai pas aimé ?

J’espère que le Val d’Azun qui m’est si cher, que Cauterets et son Pont d’Espagne resteront blottis au fond de leur vallée.

Dans les années 70 René Dumont tentait de nous avertir.
« Je bois devant vous un verre d’eau précieuse, puisqu’avant la fin du siècle, si nous continuons un tel débordement, elle manquera. »

Les rives du gave d'Azun 
Argelès-Gazost 
Juin 2019


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