Quatrième de couverture:
Que sont-ils devenus ?
Et si un désir de justice venait raviver un fait divers trop vite oublié ?
« Duncan se sent piégé, à nouveau piégé.
Il ne veut pas retourner vivre en autarcie, coupé du monde, déserteur, fugitif, froussard en quelque sorte.
Il pourrait se livrer à la police et tout révéler au grand jour. Grande incertitude, car sa bonne foi ne ferait pas le poids face aux mensonges que les médias avaient pu vomir jusque-là.
Non, Duncan doit agir seul et vite.
Il sait que Forrester n'oublie rien, qu'il est rancunier.
[...] Il se sent comme une souris avec laquelle Forrester, huit ans plus tard, continue de jouer.
Duncan le pressent tout prêt à bondir.
Comment retrouver Forrester, le faire sortir de son trou ? »
Et si un désir de justice venait raviver un fait divers trop vite oublié ?
« Duncan se sent piégé, à nouveau piégé.
Il ne veut pas retourner vivre en autarcie, coupé du monde, déserteur, fugitif, froussard en quelque sorte.
Il pourrait se livrer à la police et tout révéler au grand jour. Grande incertitude, car sa bonne foi ne ferait pas le poids face aux mensonges que les médias avaient pu vomir jusque-là.
Non, Duncan doit agir seul et vite.
Il sait que Forrester n'oublie rien, qu'il est rancunier.
[...] Il se sent comme une souris avec laquelle Forrester, huit ans plus tard, continue de jouer.
Duncan le pressent tout prêt à bondir.
Comment retrouver Forrester, le faire sortir de son trou ? »
Mon avis :
C’est en janvier 2019 que je rencontrais avec « Ma bête » les deux héros de Jean-François Régnier. Tout en appréciant cette lecture, je regrettai la fin que je trouvais trop ouverte.
J’ai enfin eu cette fin !
Deux "mentalités" s’affrontent : la vengeance que désire John Therock (le banquier, père de Mireya, une des victimes des bourreaux du hangar) et Duncan Smith, qui voudrait la justice.
On fait la connaissance de Bruce, l’amant de Duncan, et aussi le tuteur de Gavin, le fils surdoué de Duncan.
Forrester n’a aucune limite. Son intelligence, il la met au service des crimes tantôt gratuits, juste pour le plaisir, tantôt crapuleux. Si Duncan a trouvé un certain équilibre entre son métier, son fils et son amant, il garde quelques séquelles, mais surtout il aimerait laver son honneur.
Une lecture tout aussi addictive, tout aussi rapide que celle de "Ma bête".
J'ai beaucoup aimé ce roman. La réflexion ici me semble être dans les choix très humains et pas si simples. Justice ou vengeance, la capacité à pouvoir pardonner et la valeur du pardon.
Mon petit plus :
J'ai découvert Jean-François Regnier avec "Ma bête" ICI
Je remercie l'auteur pour l'envoi de ce roman dédicacé!
et Cassiopée (administratrice de Partage lecture)
Avec ce titre je participe au
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