jeudi 5 mars 2020

La bête du marais de Xavier-Marie BONNOT


Quatrième de couverture :

William Steinert, industriel allemand amoureux de la Provence, a disparu. Persuadée qu’il a été assassiné, sa riche épouse Ingrid sollicite les services de Michel De Palma, alias le Baron, commandant à la brigade criminelle de Marseille. Au repos forcé depuis qu’il a été grièvement blessé, le Baron accepte de jouer les privés. Banale affaire d’enlèvement et de séquestration ? Pas vraiment, puisque le cadavre de Steinert est repêché dans un marais et que, peu après, plusieurs autres   corps sont retrouvés dans les eaux saumâtres de Camargue, sauvagement mutilés par de gigantesques mâchoires. De Palma n’a qu’un seul indice – une plume de spatule blanche, oiseau rarissime – et une certitude : les liens de Steinert avec la Provence remontent à l’Occupation.

Dans les marais de Camargue, la nuit, une étrange voix chante l’hymne des chevaliers de la Tarasque, monstre mythique dont le folklore provençal s’est emparé. Le début d’une affaire ténébreuse qui va mener De Palma aux frontières du réel


Mon avis : 


Quel bonheur que cette promenade en Camargue.
J'ai découvert Michel de Palma, dit le Baron en même temps que Xavier-Marie Bonnot.
J'ai aimé ce héros, ce flic cassé de partout.
Se retrouver au coeur de la Camargue, dans ses marais si riches en flore, en faune. Cette Camargue au coeur d'une enquête peu banale.
Il faut être patient pour observer toutes les richesses des marais. Il faut écouter les murmures, le clapotis de l'eau, entendre l'étrange cri d'un oiseau, le vol d'une spatule ou d'un héron, le bruissement d'une aile.
Il faut être patient pour démêler tous les fils de l'enquète, retrouver les tarascaïres, (chevaliers de la Tarasque), faire la part belle à la légende mais ne pas oublier la sombre réalité des meurtres.

Mon petit plus : 

La Tarasque hantait les marécages près de Tarascon, détruisant tout sur son passage et terrorisant la population. 
Un monstre à six pattes courtes comme celles d'un ours, un torse comme celui d'un bœuf, recouvert d'une carapace de tortue et muni d'une queue écailleuse se terminant par un dard de scorpion. Sa tête est celle d'un lion aux oreilles de cheval et au visage d'un vieil homme. 


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2 commentaires:

  1. Je ne pas si l'histoire me plairait mais en tout cas, je trouve la couverture très jolie !
    Bonne journée, bises.

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    1. C'est vrai que la couverture est belle. Je pense à un lever de soleil et les touches de rouge illuminent l'ensemble.
      Bon week-end Céline. Bises.

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