Couverture: Éric Larrayadieu
Quatrième de couverture
Sous la forme d'un monologue poétique, Baricco allie l'enchantement de la fable aux métaphores vertigineuses.
Elle avait certainement tout pour me plaire, cette adaptation d'un pièce de théâtre. Tout semblait réuni pour me séduire.
Le lieu, unique, un paquebot avec à son bord toute les différentes couches que l'humanité possède d'êtres humains.
L'époque, cette première moitié du XXième siècle, avec sa musique si particulière, si envoutante.
L'écriture aussi, un monologue plein de poésie.
Comme beaucoup d'hommes de ce début de siècle, Novecento rêve ses voyages, le paquebot, c'est son île à lui, et ses voyages, il les imagine à travers sa musique et il tire son inspiration du flux et reflux des vagues.
Alors, pourquoi suis-je restée en dehors de ce texte? Pourquoi n'ai-je pas embarqué à bord du "Virginian"? Il faudra qu'un jour je relise ce tout petit texte pour comprendre mon étrange réaction.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire