J’ai trouvé l’idée belle. Un titre de film célèbre, une nouvelle !
Une lecture très agréable, et une surprenante Giebel!
Le vieux fusil (Robert Enrico 1975)
Un joli souvenir de cinéma!
Ce vieux fusil, héros du film revient avec la même résolution, le même amour mais sans doute avec plus de violence, plus de haine. Une vengeance bien organisée, ne laissant rien au hasard. Un régal de noirceur !
L’armée des ombres (Jean-Pierre Melville 1969)
Si je me souviens peu de ce film, la nouvelle de Giebel m’a enchantée.
Ce vieux fusil, héros du film revient avec la même résolution, le même amour mais sans doute avec plus de violence, plus de haine. Une vengeance bien organisée, ne laissant rien au hasard. Un régal de noirceur !
L’armée des ombres (Jean-Pierre Melville 1969)
Si je me souviens peu de ce film, la nouvelle de Giebel m’a enchantée.
Une véritable armée des ombres : toutes ces femmes qui partent aux aurores, triment dans nos bureaux, nos entrepôts et nos grandes surfaces, mal payées, pas considérées et exploitées. Giebel m’a enchantée, une chute surprenante pour Giebel !
Un monde parfait (Eastwood 1993)
Un bon souvenir que ce film ! Kevin Kosner et l’enfant T.J. Lowther .
Les aléas des locations de vacances qui ne correspondent pas toujours aux descriptions alléchantes des propriétaires. Cette fois Giebel immisce un doute !
Au revoir les enfants (Louis Malle 1987) Un sujet difficile.
Quel bel hommage que Giebel rend à ces oubliés de la première vague. Ces hommes et ces femmes qu’on a privé de visites, qu’on a enfermé, oublié.
Pas de masques ! Pas de visites !
Pas de vaccins ! Pas de câlins !
Pas de familles ! Pas d’obsèques !
Pas de réanimateurs ! Pas de personnels !
Cherchez l’erreur !
Au revoir à tous les enfants qu’Yvonne, jeune résistante anonyme puis rescapée des camps a sauvés.
Quatrième de couverture :
Un monde parfait (Eastwood 1993)
Un bon souvenir que ce film ! Kevin Kosner et l’enfant T.J. Lowther .
Les aléas des locations de vacances qui ne correspondent pas toujours aux descriptions alléchantes des propriétaires. Cette fois Giebel immisce un doute !
Au revoir les enfants (Louis Malle 1987) Un sujet difficile.
Quel bel hommage que Giebel rend à ces oubliés de la première vague. Ces hommes et ces femmes qu’on a privé de visites, qu’on a enfermé, oublié.
Pas de masques ! Pas de visites !
Pas de vaccins ! Pas de câlins !
Pas de familles ! Pas d’obsèques !
Pas de réanimateurs ! Pas de personnels !
Cherchez l’erreur !
Au revoir à tous les enfants qu’Yvonne, jeune résistante anonyme puis rescapée des camps a sauvés.
Quatrième de couverture :
Il y a des soupirs, des souvenirs et des sourires.
Il y a ces jours sans fin et ces nuits sans chaleur. Cette sensation d’être sale, d’être rien, moins que rien.
Ces dangers qu’on n’a pas vus venir, ces risques qu’on n’a pas osé prendre. Ces tentations auxquelles on n’a pas eu la force de résister.
Il y a ces mauvais héritages, ces mauvais choix, mauvaises pentes, mauvais départs.
Il y a ce manque de chance.
Il y a cette colère, ce dégoût.
Il y a…
Des fois où on préférerait être mort.
Voilà ce qu’on découvre dans les Chambres noires de Karine Giebel, recueil de quatre nouvelles inédites dont les héros, ou anti-héros, incarnent et dénoncent tour à tour les manquements de notre société. Quatre histoires pour lesquelles l’auteure emprunte les titres de grands films qui l’ont marquée.
Après D’ombre et de silence, elle nous offre un nouveau recueil tout en noir, humain, engagé, bouleversant, qui agit comme un révélateur, nous faisant ouvrir les yeux sur le monde en dépit de son opacité et de sa noirceur.
À la fin de l’ouvrage, en bonus, trois nouvelles déjà parues dans Treize à table ! (Pocket) au profit des Restos du Cœur ainsi que Sentence, nouvelle écrite en plein confinement et publiée dans Des mots par la fenêtre (12-21) au profit de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France.
Karine Giebel
Juin 2019
Photo source Auteurs francophones
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