C’est la triste histoire que vit Paul.
Il lui faudra alors affronter ses propres démons, parce que le coup a peut-être entamé ses facultés mentales. Il est pourtant aimé et aidé par Charlotte, son épouse.
J’ai été très surprise par cette lecture, pleine de rebondissements. L’auteur nous promène au grès de ses humeurs. On finit par se poser beaucoup de questions, par imaginer plusieurs scénarios.
Une machine à écrire envoutée rythme le roman de ses « Tac-tac. Tac. Tac-tac-tac ».
Je crois quand même que je suis passée à côté de ce roman. Ce n’était sans doute pas le bon moment pour le lire, mais en écrivant mon avis, je m’aperçois qu’il a des qualités d’écriture, de suspense et de péripéties assez originaux.
Une machine à écrire envoutée rythme le roman de ses « Tac-tac. Tac. Tac-tac-tac ».
Je crois quand même que je suis passée à côté de ce roman. Ce n’était sans doute pas le bon moment pour le lire, mais en écrivant mon avis, je m’aperçois qu’il a des qualités d’écriture, de suspense et de péripéties assez originaux.
Quatrième de couverture :
Paul Davis n'est que l'ombre de lui-même : huit mois plus tôt, ce professeur de littérature à l'existence sans relief a vu un assassin transporter des cadavres de femmes dans le coffre de sa voiture.
Depuis, Paul subit les assauts d'un violent syndrome de stress post-traumatique. Comment se libérer de cette nuit d'horreur ? Pour l'aider, son épouse l'encourage à coucher sur le papier les pensées qui le rongent et lui offre, pour ce faire, une vieille machine à écrire.
Mais bientôt, aux images cauchemardesques de ses nuits viennent s'ajouter des bruits étranges, le tac tac tac frénétique des touches d'un clavier. Et plus inquiétants encore sont les messages cryptiques, tapés par la machine, que Paul découvre au petit matin.
Somnambulisme ? Machination ? Démence ? À moins que les victimes du tueur ne s'adressent à lui pour réclamer vengeance ? Avec le soutien d'Anna White, sa charmante psychiatre, Paul s'enfonce dans les méandres d'une enquête aux soubresauts meurtriers…
Traduit de l'anglais (Canada) par Renaud Morin.
Linwood Barclay
23 août 2013
Photo source : Anthony Jenkins/The Globe And Mail
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