Couverture: Marianne Ellis
Quatrième de couverture
Traduit de l'anglais (Afrique du Sud) par Catherine Lauga du Plessis
J'ai fini la lecture de ce roman, et je dois bien avouer que je suis perplexe.
On ne sait pas où et quand se passe l'action, mais les réfugiés, les peuples "déplacés" sont de toutes les époques. On ne sait pas davantage d'où ils viennent.
Simon, "el viejo" quarante-cinq ans prend sous son aile le petit David, cinq ans environ. L'enfant a perdu sa mère et Simon a décidé de la retrouver. Ils n'ont plus d'identité, on leur a attribué un nom, un âge. Ils ont oublié leur passé: "Les gens ici se sont lavés à grande eau du passé . Vous devriez faire de même : laisser les vieilles attaches, ne cherchez pas à renouer les liens d'autrefois" .
Aussi étrange que cela puisse paraitre, Simon est persuadé qu'il reconnaîtra la maman de David dès qu'il la verra, et décide que c'est Inès.
Simon travaille sur les docks et se fait quelques amis.
Qu' a vraiment voulu nous dire l'auteur?
Aussi étrange que cela puisse paraitre, Simon est persuadé qu'il reconnaîtra la maman de David dès qu'il la verra, et décide que c'est Inès.
Simon travaille sur les docks et se fait quelques amis.
Qu' a vraiment voulu nous dire l'auteur?
L'absence d'histoire et de souvenir est forcément douloureux. Notre histoire est essentielle à notre équilibre..
Il parle du travail humain, sans mécanisation, il parle d'éducation d'enfant, avec amour certes mais sans discernement, il parle de relations entre hommes mais pas d'amitié, les femmes semble n'être que des mères, il parle de gaspillage aussi…On ne voit pas de passion, on ne ressent que de la "raison".
Je pense être passé à côté de ce roman, mais j' ai aimé le style de Coetzee.
Je remercie "Partage lecture" et les éditions "Points" pour ce partenariat.
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