samedi 15 février 2014

La grâce des brigands

Véronique OVALDE


Quatrième de couverture:

Maria Cristina Väätonen a seize ans lorsqu’elle quitte la ville de son enfance, une bourgade située dans le grand Nord, entourée de marais et plongée dans la brume la plupart de l’année. 
Elle laisse derrière elle un père taciturne, une mère bigote et une sœur jalouse, pour s’installer à Santa Monica (Los Angeles). 
C’est le début des années 70 et des rêves libertaires.
Elle n’a pas encore écrit le roman dans lequel elle réglera ses comptes avec sa famille, et qui la propulsera sur la scène littéraire. 
Et elle n’est pas encore l’amante de Rafael Claramunt. Séducteur invétéré, cet excentrique a connu son heure de gloire et se consacre désormais à entretenir sa légende d’écrivain nobélisable. 
Est-il un pygmalion ou un imposteur qui cherche à s’approprier le talent de Maria Cristina ?

C' est Maria Christina l' héroïne de ce roman.
Son enfance est plutôt triste, entre une mère sans doute bi-polaire, un père taciturne et une soeur parfois complice, quelquefois rivale...comme souvent dans les fratries.
Mais c' est une enfant douée, elle obtient une bourse d' étude et grâce à son père elle peut enfin fuir le village de Lapérouse et s 'installer à Los Angelès. Elle n' a que seize ans.
Elle va vivre les drames et les joies des jeunes femmes trop solitaires, elle va devenir un écrivain célèbre oublier sa famille...jusqu' au jour où elle reçoit un appel de sa mère : 
"Il faut que tu viennes à Lapérouse, Maria Christina... C' est à cause du petit Peeleete... Ton neveu..."
Pendant ce voyage, Maria Christina fera sans doute un bilan de sa vie, de sa toute jeune vie.

Je crains d' être passée à côté de ce roman.
J' ai eu du mal à accrocher au style, je n' ai pas trouvé grand intérêt aux personnages.
Peut-être venait-il trop tôt après mes précédentes lectures.



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