Nous vivons avec les policiers les violences inhérentes aux banlieues des grandes villes, des cités où les dealers font régner leur loi, où l’insécurité, la peur et la délinquance sont le quotidien des habitants. Une haine contre le service d’ordre que Servaz ne comprend pas.
Une chasse, une justice parallèle, des hommes qui s’engagent et décident de faire justice parce qu’ils pensent nos juges sont trop laxistes. J’ai pensé à "La nuit des juges" film de Peter Hyams (1983) avec Michael Douglas dans le rôle d’un juge désabusé.
Trahi jusque dans son propre camp, il faudra à notre héros toute la douceur de Léa et la tendresse de Gustav pour ne pas sombrer.
Un roman qui se termine par un joli rayon de soleil!
Quatrième de couverture :
" Il y a des ténèbres qu'aucun soleil ne peut dissiper. "
Sous le halo de la pleine lune, un cerf surgit de la forêt. L'animal a des yeux humains. Ce n'est pas une bête sauvage qui a été chassée dans les forêts de l'Ariège...
Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s'empare des dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d'une actualité brûlante sur les sentiers de la peur.
Une enquête où Martin Servaz joue son honneur autant que sa peau.
Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s'empare des dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d'une actualité brûlante sur les sentiers de la peur.
Une enquête où Martin Servaz joue son honneur autant que sa peau.
Photo Bernard Minier
Source Cultura
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