Quatrième de couverture :
Voulez-vous vraiment connaître la vérité ?
Le dernier message pourrait vous plonger
dans des abysses d'angoisse et de folie…
Île d'Iona, à l'ouest de l' Écosse. Des plaines d'herbes brunes parsemées de roches noires. Et au bout du " Chemin des morts", la silhouette grise du monastère.
Derrière ces murs suppliciés par le vent, un pensionnaire vient d'être retrouvé assassiné. Son corps mutilé de la plus étrange des façons. C'est l'inspectrice écossaise Grace Campbell qui est chargée de l'enquête. Après un an de mise à l'écart, elle joue sa carrière, elle le sait.
Sous une pluie battante, Grace pousse la lourde porte du monastère. Elle affronte les regards fuyants des cinq moines présents. De la victime, ils ne connaissent que le nom, Anton. Tous savent, en revanche, qu'il possédait un cabinet de travail secret aménagé dans les murs. Un cabinet constellé de formules savantes...
Que cherchait Anton ? Pourquoi l'avoir éliminé avec une telle sauvagerie ? Alors qu'elle tente encore de retrouver confiance en elle, Grace ignore que la résolution d'une des énigmes les plus vertigineuses de l'humanité repose tout entière sur ses épaules…
Derrière ces murs suppliciés par le vent, un pensionnaire vient d'être retrouvé assassiné. Son corps mutilé de la plus étrange des façons. C'est l'inspectrice écossaise Grace Campbell qui est chargée de l'enquête. Après un an de mise à l'écart, elle joue sa carrière, elle le sait.
Sous une pluie battante, Grace pousse la lourde porte du monastère. Elle affronte les regards fuyants des cinq moines présents. De la victime, ils ne connaissent que le nom, Anton. Tous savent, en revanche, qu'il possédait un cabinet de travail secret aménagé dans les murs. Un cabinet constellé de formules savantes...
Que cherchait Anton ? Pourquoi l'avoir éliminé avec une telle sauvagerie ? Alors qu'elle tente encore de retrouver confiance en elle, Grace ignore que la résolution d'une des énigmes les plus vertigineuses de l'humanité repose tout entière sur ses épaules…
Mon avis :
Je n’ai éprouvé aucune sympathie pour Grace Campbell, continuant ma lecture en espérant qu’elle finirait par ouvrir la porte de cette chambre secrète.
Si au départ le monastère a éveillé ma curiosité, je n’y ai pas retrouvé l’atmosphère du « nom de la rose ». Le duo qu’elle forme avec Naïs est peu crédible.
Le côté scientifique ne m’a pas davantage captivée.
Une déception donc que cette lecture.
Nicolas Beuglet
Photo source EmOtionS (Blog littéraire)
5 juin 2018
Le cri de Nicolas Beuglet
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