vendredi 14 avril 2017

Le cercle celtique

Björn LARSSON

Quatrième de couverture

Un voilier vogue au large de l'Écosse. Bravant les rigueurs de la mer du Nord en plein hiver, ses deux passagers se dirigent vers des périls sans nom. Car plus effrayants que la nature déchaînée sont les dangers dont les hommes les menacent. Poursuivis sur les mers par des inconnus, volés, espionnés, ils n'en sont pas moins déterminés à découvrir la clef de la malédiction qui pèse sur MacDuff et Mary, amoureux en fuite. A découvrir surtout le secret du Cercle celtique, avec ses mystérieux rites meurtriers. 
Du Danemark aux îles Hébrides, de tempête en bourrasque, de surprise en révélation, les deux aventuriers de la mer vont accomplir un étonnant voyage et mettre au jour quelques sinistres vérités…
Traduit du suédois par Christine Hammarstrand.

C'est un voyage très particulier que j'ai fait à bord du Rustica. Avec moi, pour lutter contre les éléments déchainés, Ulf marin chevronné et son ami de toujours Torben. Torben, s'il ne connait pas la navigation a de grandes connaissances sûr les coutumes celtes, et il apprend vite!
Comment faire autrement quand les éléments se déchainent?
Parce que c'est au mois de janvier que Ulf décide de suivre le carnet de bord que Pekka lui a remis. C'est comme une promesse… Partir du Danemark pour aller en Ecosse en respectant les escales mentionnées par Pekka pour comprendre, se protéger des poursuivants, craindre les déferlantes, se méfier des humains mais aussi des ouragans de l'hiver…
Je n'aurai pas qualifié ce roman de policier, mais plutôt d'aventure.  Aventure, amour, trahison…
C'est un roman très bien écrit, agréable à lire, mais qui sans doute intéressera davantage les amateurs de voile, tant la navigation est détaillée!

"À terre, disait MacDuff, on s’imagine toujours être plus important que ce que l’on est en réalité. On essaie de laisser des marques, aussi bien dans l’esprit des autres que devant l’éternité. Sur mer, on sait que cela ne sert à rien. Une fois que la traîne derrière le bateau a disparu, c’est comme si rien ne s’était jamais produit." 

J'ai lu ce roman dans le cadre de la lecture commune Mars-avril 2017 du forum "Partage Lecture".

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