Quatrième de couverture
La région est en effervescence. Les journaux écrits et télévisés font leurs gros titres au sujet de quatre morts violentes s’étant produites le long du chemin qui passe près de la petite maison du vieillard et mène les pèlerins à Saint-Jacques-de-Compostelle, le Camino Francés, rebaptisé par un journaliste inspiré : le « chemin meurtrier ».
Lundi 17 mai 2010. Comme chaque jour, le vieil Henri se rend sur la place de l’église et là, assise sur le banc vert où il rejoint habituellement ses rares copains encore vivants, une jeune femme sublimissime mange tranquillement un sandwich. Ils échangent quelques mots… et il se retrouve mêlé bien malgré lui à une histoire hallucinante.
De la Côte d’Azur à New-York, en passant par l’Isère et l’Auvergne, doux, violent, érotique, mystérieux, machiavélique, explosif, cruel, éclairant d’un jour nouveau des énigmes anciennes et des évènements politiques récents, ce deuxième volet de la trilogie Eden est fou : vous allez l’adorer… et sans doute détester ses auteurs.
De la Côte d’Azur à New-York, en passant par l’Isère et l’Auvergne, doux, violent, érotique, mystérieux, machiavélique, explosif, cruel, éclairant d’un jour nouveau des énigmes anciennes et des évènements politiques récents, ce deuxième volet de la trilogie Eden est fou : vous allez l’adorer… et sans doute détester ses auteurs.
Ce n'est pas un policier ordinaire, ni un thriller, et si je le classe dans "policier", c'est que le premier livre (que je n'ai pas lu) est ainsi rangé!
Dès le début du roman, nous savons qui est Eden, qui est son amant, Michel Ange, nous n'avons aucun mal à situer les personnages, les victimes. Il n'y a donc pratiquement pas de suspens.
Mais qu'importe, Henri est là, assis sûr son banc, et comme nous passons par là, il va nous raconter son histoire, celle d'Eden.
Un air de Brigitte Bardot… C'est un nonagénaire, et La Femme, le rêve des hommes aujourd'hui âgés de plus de quatre-vingt ans, c'est la jeune et belle Bardot!
Il est détenteur d'un savoir, il a rencontré Einstein, dialogué avec les scientifiques, connu les début de l'informatique…Il sait qui est le masque de fer, connait le secret de la chute de DSK, explique les travers de notre époque, mais n'oublie jamais de revenir à son histoire, à la sublime Eden…
J'ai eu l'impression d'écouter parler un homme qui aurait pu être mon grand-père, passant du coq à l'âne, mais n'oubliant jamais le sujet principal… Eden et les assassinats. Il connait même un secret, que lui a transmis son père, et avant lui le père de son père, ainsi de suite depuis des générations… il va bien falloir qu'il le transmette à son tour, mais c'est un célibataire endurci et sans enfant…
Henri le sage, Henri le suspicieux, Henri le poète, Henri le narrateur, je me suis attachée à ce vieil homme, érudit, avec une formidable imagination. Et si l'histoire n'a rien de comique, si Eden a vraiment un serpent dans la tête, si les actes peuvent faire froid dans le dos, j'ai plus d'une fois souri en "écoutant" Henri.
Je remercie Partage lecture et les éditions Baudelaire pour ce partenariat.
Ta chronique donne envie de découvrir ce livre ! Merci !
RépondreSupprimerMerci Christine!
SupprimerJolie chronique en effet!
RépondreSupprimerMerci pour cette belle chronique Joëlle.
RépondreSupprimerMerci Malo!
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