On fait visiter, on n'est pas peu fier, on explique le pourquoi des aménagements, le comment aussi...
On subit les critiques, ceux qui auraient fait autrement, ailleurs, ceux qui trouvent tout parfait...
Il y a les voisins, les locaux qu'il faut ménager, s'en faire des amis pour s'intégrer au village, et ceux qu' on a invités...les amis, les collègues qui viennent de Paris.
J'ai retrouvé à peu près toute le panoplie des visiteurs...Ceux qui ne donnent pas de dates de départ...au cas où on ne se plairait pas...on part plus tôt, ou sinon on reste plus longtemps...Ceux qui ne savent rien faire sans vous...les "on fait quoi aujourd'hui" qu'il faut prendre par la main, qui attendent de vous des visites et sorties quotidiennes .
Maison principale ou secondaire...ce sont les mêmes... généreux ou pique-assiettes, sans-gène ou coincés... Séjours agréables ou fastidieux pour la maîtresse de maison.
Après quelques chapitres plutôt drôles et parfois cocasses, j'ai eu l'impression de lire une revue féminine où on m'expliquai comment recevoir, comment éviter certains malotrus, et j'ai été vite lassée.
Puis l'auteur nous explique enfin ce qui a motivé son acquisition, ce désir de maison familiale et c'est sur une note de tendresse que se termine ce récit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire