
Est-ce uniquement pour rééditer et vendre certains romans que les éditeurs ont fait ce choix, des raisons économiques?
Je pense que seuls les auteurs (et autrices) ont le droit de transformer leurs écrits. On a toujours le choix de ne pas les lire.
Un texte à découvrir et à partager!
Quatrième de couverture :
Et si la question qui sous-tend ce vaste débat était mal posée ? S’il s’agissait, dans bien des cas, d’argent et non d’éthique ? Et si la censure n’était pas du côté qu’on croit ? Et si les précautions prises à tout contextualiser produisaient à terme un effet pervers ?
À l’aide de quelques exemples, Laure Murat tente de rebattre les cartes d’une polémique qui, à force d’amplifier, brouille les vrais enjeux de la création et de sa dimension politique.
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