Quatrième de couverture
Lorsque l'auteur parle de la femme qu'il aime, avec laquelle il a vécu pendant vingt-trois années, on ressent son émotion. La disparition de cette femme, le vide qu'elle laisse, son absence, Guy Verger raconte avec émotion. On ressent tout son amour, toute la tendresse qu'ils partageaient…
Nous trouvons cet amour dans le prologue, dans l'introduction.
C'est peut-être parce qu'ensuite il se perd, entre les souvenirs de leurs engagements, les siens et ceux de sa compagne qu'il ne la nomme qu'à la fin de l'ouvrage…À plusieurs reprises je me suis demandée quel était le prénom de cette femme aimée, vérifiée que je n'avais pas omis ou oublié… Son doux prénom il le dépose comme une fleur à la fin du livre!
Politique, religion, philosophie, engagement syndical, corruption, l'auteur parle à bâton rompu, cherche des définitions dans les dictionnaires, parle de ruptures familiales, d'amour amitié, d'amour platonique (sans le nommer) de sa vision de la sexualité… c'est beaucoup pour 110 pages. Il a tant de choses à dire, à écrire, pour se souvenir de cet amour qu'il semble se perdre.
C'est dommage, parce que son écriture est agréable, les idées qui sont les siennes, même si on ne les partage pas toutes, mériteraient d'être développées.
Et petite parenthèse personnelle, les réseaux sociaux permettent aussi aux personnes âgées et même très âgées de garder le contact avec leurs petits-enfants, de connaître leurs arrière-petits-enfants…Parce que la vie est ainsi faite que parfois les gens qu'on aime sont à l'autre bout du monde! Ils permettent aussi de se couper d'un isolement que la maladie ou l'âge avancé pourraient provoquer. Bien utilisés, ils sont un plus pour notre société!
C'est dommage, parce que son écriture est agréable, les idées qui sont les siennes, même si on ne les partage pas toutes, mériteraient d'être développées.
Et petite parenthèse personnelle, les réseaux sociaux permettent aussi aux personnes âgées et même très âgées de garder le contact avec leurs petits-enfants, de connaître leurs arrière-petits-enfants…Parce que la vie est ainsi faite que parfois les gens qu'on aime sont à l'autre bout du monde! Ils permettent aussi de se couper d'un isolement que la maladie ou l'âge avancé pourraient provoquer. Bien utilisés, ils sont un plus pour notre société!
de passage sur ton blog, je te fais un petit coucou !
RépondreSupprimerMerci Christine! bises!
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