Quatrième de couverture
Très vite j'ai compris que Jacques Malenc, le héros narrateur était une "personne fragile". Il parle en faisant des phrases très longues, utilisant souvent plusieurs propositions, inconsciemment sans doute pour ne pas agir. Dès qu'il agit, ses phrases sont plus courtes. Sa femme et sa fille ont disparu, la mémoire lui fait défaut. Il est hanté par l'image d'un père, il reçoit des mails étranges sur son ordinateur, entre alcool et hallucinations, notre héros finit par se faire violence et part à la découverte de son passé.
Je n'ai pas, dans ce roman, pris la place du héros. J'ai observé de l'extérieur Jacques Malenc, essayé de comprendre le fonctionnement de son cerveau. Je l'ai lu comme on lit un documentaire. Je pense avoir, malgré moi était influencée par le métier de l'auteur et ma propre approche du monde de la maladie mentale.
J'ai suivi la trame avec intérêt, j'ai aimé le style.
Un livre qui peut être intéressant après je ne sais pas si j'apprécierai cette lecture car ce n'est pas un genre que j'ai l'habitude de lire ;)
RépondreSupprimerBonne journée !
C'est peut-être une aventure à tenter, c'est bien écrit, et relativement court.
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