Quatrième de couverture
J' avais tellement aimé le personnage de Bastien dans "Au coeur des forêts" que c'est sans hésitation que j'ai acheté ce roman.
Je n'ai pas été déçue, j'ai vécu avec Virgile et Victoria Laborie les heures noires de l'occupation allemande. Parfois je regardais la date, comme on regarde l' heure, en pensant "encore tant de temps avant la paix!"
J' ai eu la gorge serrée et souvent le coeur gros.
"Ma france, c' est celle-là, celle de la résistance à la barbarie nazie, et celle de l' humanité généreuse. Celle de l' humilité, du silence et du courage. Celle dont je suis fier et dont je me sens gardien vigilant de la mémoire, sans loi mémorielle ni repentante."
C'est ainsi que Christian Signol termine sa préface. Je partage son avis.
Ce roman est un vibrant hommage à tous ces anonymes, hommes et femmes, qui simplement par humanité, ont apporté leur aide.
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