Quatrième de couverture
Avant de commencer ma petite chronique, je tiens à remercier Joël Maïssa pour sa patience. En effet, il y a maintenant presque deux mois que je recevais et lisais "Le meurtre d'O'Doul Bridge" (27 août).
Aimant l'écriture de Florent Marotta, ayant lu la plupart de ses créations : "Le visage de Satan", mais aussi dans un tout autre domaine "Ysé et le palimpseste" … etc, je savais que je vivrai un joli moment de lecture.
Avec ce nouveau roman Marotta renoue avec le genre thriller. Je n'ai pas posé ma liseuse avant le mot "fin" tant sa lecture fut un plaisir, tant j'ai aimé le héros!
Original, puisque notre héros, Michael Ballanger est "French coach". Expatrié à San Francisco, il a développé son activité et est même devenu une star du petit écran où il participe à une émission débat, et a de jolis succès en librairie!
Par ses rêves, ou cauchemars, nous allons nous imprégner de son passé découvrir ses drames et comprendre son désir d'un ailleurs. Surprenant il l'est avec Kim, une superbe call-girl, il la considère comme sa fille et lui paie ses études. Plus gauche peut-être avec sa fille Karine venue le rejoindre pour tenter de recréer un lien que le malheur a détruit.
Et dans ce décors bien planté, nous suivons la véritable enquête d'un meurtre.
Tant de semaine après ma lecture, après m'être insurgée contre le policier américain, si pédant et méprisant. Il n'y avait vraiment qu'un "frenchi" pour enquêter sans complexes auprès des nantis américains, qui ne doivent leur pouvoir qu'à l'argent.
J'aime bien ta critique, elle me donne envie de découvrir cet auteur.
RépondreSupprimerMerci Joëlle.
Un auteur stéphanois qui ne manque pas de talent!
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